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Ma bisexualité

Samedi 12 janvier 6 12 /01 /Jan 20:29

Moi

Moi
 
Je suppose, (rien à voir avec les mâchins pointus qu'on est obligé de se mettre dans le fondement pour soigner un mal de gorge, par exemple) je suppose que vous vous êtes régalés à lire mon précédent billet où il était question du déniaisement d'une jeune fille le soir de mon vingtième anniversaire, voici quelque temps déjà. Mais bon, je prétends être resté jeune et je souhaite le rester le plus longtemps possible.
Il me fût donc offert ce soir là, de découvrir comment régaler une femme, par des femmes; mais la soirée avait aussi pour but d'enseigner à la jeune fille qui venait de perdre son pucelage, comment s'occuper d'un garçon. Et là, bien sur, cela me concernait directement. Les trois hommes, comme les trois femmes, ce soir là s'employèrent gentiment  à faire voir à cette petite tous les petits trucs pour faire monter un mec aux rideaux.
Et, comme ce furent les nanas qui me montrèrent comment m'occuper de la jeunette, bien évidemment, pour commencer, ce furent les hommes qui lui montrèrent comment s'occuper de moi. J’étais tout à fait volontaire et intéressé, tu parles. Je fêtais mon vingtième anniversaire et, ce que ne perçus pas sur le moment, c'est que tout ces drôles auraient été passibles des tribunaux pour détournement de mineur. Eh oui, à cette époque, en 1969, la majorité civile était à 21 ans. La majorité à 18 ans ne devant intervenir qu'en 1974.
Bon, ce détail étant précisé, entrons vite dans mon détail, si je puis dire. Après que je me sois libéré dans la jouissance et dans l'éjaculation, il fallut bien sur se reposer. Et tout le monde marqua une pause qui n'était pas dénuée de tendresse et de câlins. Mais bon, il fallait bien "recharger les batteries".
Nous en profitâmes tous pour grignoter quelques fruits et les réjouissances ne tardèrent pas à recommencer.
Les femmes se rassemblèrent autour de la jeunette et lui dirent de bien regarder. Ce qu'elle fît évidemment avec beaucoup plus d'attention qu'elle n'aurait pu accorder à un cours de géographie ou même de maths.
Les hommes me couchèrent à mon tour sur le canapé et commencèrent à m’embrasser un peu partout et à me caresser. Ils s’employèrent à montrer toutes les zones supposées conduire un homme au plaisir, et bien entendu je fus très vite parcouru de frissons et vêtu de chair de poule de la tête aux pieds. Ceci fut d’ailleurs indiqué à la jolie comme un bon indice de l’efficacité des gestes accomplis.
Un des hommes était assis à ma droite. Il m’embrassait dans le cou et me caressait les seins, puis les hanches. Chaque geste était précisément décrit et la jolie en apercevait les résultats en direct. Je gesticulais comme un pantin. Je voyais les femmes caresser la jeunette et lui dire de se pencher pour mieux voir.
Un autre homme était plus particulièrement chargé de me faire à nouveau bander, ce qui ne tardât pas. Pour cela, il me caressait le ventre avec ses doigts, puis sa bouche et sa langue. Ses mains me caressaient les cuisses et arrivèrent très vite à l’approche de ma bite tendue à nouveau maintenant. Pendant que le troisième me pinçait les seins gentiment et me fourrant sa langue dans mon oreille, le second m’attrapa à pleine main.
J’entendis dire une des femmes : « Tu vois, tu peux le prendre à pleine main sans avoir peur de lui faire mal ». « C’est aussi peu douloureux qu’un pincement d’oreille » et elle joignit le geste à la parole en pinçant une oreille de la jeunette. Elle précisa : « Les hommes adorent qu’on prenne leur bite sans faire semblant, ça les flatte. » Et l’homme commença une lente mais ferme masturbation. La fille n’en perdait pas une miette et je m’exposais à sa vue sans pudeur. J’adorai tout de suite cette situation d’exhibitionnisme et je m’apercevais bien que la belle s’en régalait aussi. L’homme se mit à me caresser les couilles à l’aide de son autre main, ce qui fût l’occasion donnée à une des autres femmes de dire qu’il fallait les palper avec douceur et fermeté mais sans jamais trop forcer. Il fut demandé à la donzelle de s’y essayer ce qu’elle fit d’ailleurs très bien. Elle avait compris. L’homme accéléra la masturbation et simultanément me prit dans sa bouche. Une des femmes insista pour dire qu’il fallait faire attention à bien lubrifier la queue pour éviter les échauffements et les douleurs.
Cette fellation démonstration était sublime. Rien de tel qu’un homme pour bien sucer un autre homme. Il sait précisément comment faire pour donner du plaisir et maintenir et renforcer l’érection. Je ne veux pas dire que les femmes ne savent pas bien sucer, mais bon, à priori un homme sait mieux comment pratiquer. Je suppose que l’inverse est vrai, une femme qui va en lécher ou en sucer une autre sait forcément mieux s’y prendre qu’un homme, au début. Passons.
J’ai fréquenté beaucoup de femmes, assez peu savaient s’y prendre correctement et devaient être conseillées. Quelques autres avaient été visiblement briffées et me faisaient monter au ciel. Mais revenons à mon branleur. Il m’astiquait maintenant avec ardeur et mon érection était au paroxysme. J’avais les cuisses écartées, les pattes en l’air, et je n’avais aucune intention de me cacher. Mon amant de Calvi s’accroupit. Me prenant le sexe dans sa main gauche, il commença à me caresser les fesses puis à s’intéresser à mon petit cul. Il mouilla ses doigts dans ma bouche et les présenta à mon petit plissé. Un doigt ne tarda pas à m’envahir. J’étais aux anges.
Je regardais la minette,
 Elle n’en perdait pas une miette.
Un deuxième doigt fureteur disparut à son tour, le plaisir s’intensifia et ma bandaison fut renforcée. Une des femmes demanda à la jeunette de s’en assurer : « touche la. Tu vois comme elle bande davantage ? » Je sentis une main me palper. La petite venait de vérifier.
Et l’autre de lui dire : «  le plaisir, avec les hommes bisexuels, c’est qu’ils acceptent d’être possédés à égalité. » Elle continua : « Lui mettre les doigts dans l’anus, c’est à coup sur le faire rebander si par hasard il avait une défaillance. » Elle lui demanda si elle voulait essayer, mais elle refusa. Je n’en fus pas dépité car j’étais par ailleurs régalé. La minette n’en resta pas moins sur les lieux pour ne rien rater.
Une des femmes commença à caresser un des hommes pour le préparer. J’avais toujours les deux doigts visiteurs qui s’agitaient dans mon petit cul serré. Je vis la femme ouvrir un flacon de ce qui sembla être de l’huile parfumée. Je sentis que je ne m’étais pas trompé quand elle vint prendre la place de mon amant de Calvi, avec ses doigts glissants. Une autre reprit le flacon et commença à en recouvrir le sexe de l’homme qui allait me sodomiser en premier.
Ainsi préparé, les deux femmes me saisirent par les jambes et les cuisses pour me positionner correctement. Je vis l’homme s’avancer et prendre place entre mes cuisses. Mes muscles étaient maintenant dilatés et je sentis comme je vis également son sexe entrer en moi dans le même temps que les doigts de la femme se retiraient.
Cela me fit un peu mal sur le moment, mais la douleur laissa très vite la place au plaisir.
Je n’étais pas très expérimenté à ce moment là, mais je compris vite que le mélange douleur/plaisir était le piment de cette pratique. Tout ceux et toutes celles qui aiment la sodomie connaissent ce sentiment et ces impressions. Un homme qui aime être sodomisé sait bien mieux s’y prendre à son tour pour enculer gentiment une femme. Mais bon, revenons à mon anniversaire.  Les hommes me retournèrent et je me retrouvais à quatre pattes sur le canapé. Celui qui venait de me sodomiser n’était pas le plus sympathique. Il avait un petit air qui semblait légèrement méprisant. Quand il disparut de ma vision, ce ne fut pas un déchirement . Je me retournais à nouveau. Je voulais tout voir.
* « Calvi » appela l’autre type, qui lui s’approcha gentiment me fit un sourire, me caressa les cuisses et les fesses et me leva la jambe pour mieux me pénètrer. Il était légèrement mieux monté que le premier, mais j’étais bien préparé et il entra en moi en douceur mais profondément. La consigne de la soirée semblait être : «  surtout ne pas jouir ».
Après m’avoir astiqué un bon moment, celui-ci se retira doucement pour laisser la Place à Calvi, mon amant de l’île de beauté, le mois précédent. Je connaissais sa bite et il rentra facilement. J’étais content, lui me faisait plaisir en prenant le sien et j’adorai sa façon de me caresser tout en me baisant.
Après quelques instants l’hôtesse de maison vint lui dire quelque chose à l’oreille et il se retira tout doucement. Mon plaisir anal était à son comble et je n’avais pas joui non plus. La jeunette fut amenée devant moi. Mon amante de calvi, me regarda et me dit : «  bon anniversaire jean-Pierre, maintenant nous te laissons. Occupe toi de la petite. » elle  s’éloigna comme les autres et je vis bien que chacun s’égaillait sans sa chacune. Les couples s’échangeaient et s’éparpillaient dans la pièce. Je commençais à flirter outrageusement avec la mignonne, les mains par ci, les mains par là. Je la pénètrai mais je me rendis vite compte qu’elle était ailleurs. Elle regardait les trois couples baiser gentiment, elle n’en perdait rien. Je compris à ce moment là qu’il n était pas utile de continuer avec elle. Je me levais et la vis se diriger au milieu de la pièce. Son ménage n’avait échappé à personne, les couples se défirent et les hommes vinrent l’entourer. J’étais dans le même état d’esprit et, du même mouvement je me dirigeais vers les femmes qui m’en tourèrent également. La suite fût simple, la gamine fût entreprise par les trois hommes pendant que je me débattais avec les trois femmes. L’excitation et la jouissance fûrent terribles. Jus l’impression qu’on m’arrachait le ventre. Ma bite visita ces trois femmes et elles me rendirent mes caresses en me pénètrant le cul à leur tour. Sentir toutes ces mains et tout ces doigts te parcourir et t’envahir est tout simplement divin.
Je n’avais pas perdu au change. La nuit fût torride, et le lendemain matin j’avais mal partout. J’eus du mal à m’asseoir trois jours durant. J’étais vidé mais comblé. Dans tous les sens du terme. Le lendemain matin, après un petit déjeuner rapide, la dispersion fut sifflée et je quittais l’appartement parfaitement heureux de mon anniversaire. Je me souviendrai jusqu’à la fin de mes jours de ce qui reste le meilleur souvenir de ma vie sexuelle.
Je n’eus plus jamais de nouvelle de ce merveilleux couple de calvi. Quand, au hasard de mes promenades Parisiennes, je  tentais de reprendre contact je m’aperçus dépité que l’appartement avait changé d’occupants. J’avais été initié à la bisexualité et à la partouze. Il fallait maintenant que je vole de mes propres ailes et que je trouve mes propres expériences.
Je n’ai rien perdu de ces leçons adorables et je me suis efforcé de partager ces connaissances tout au long de ma vie, et Je continue…….
 
 
Par jpp09 - Publié dans : Ma bisexualité
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Dimanche 6 janvier 7 06 /01 /Jan 16:45
Pas-facile.jpg
Elle.
 
Vous avez sans doute remarqué que la fin de mon billet précédent laissait quelque peu « sur la faim ». je m’en viens donc vous offrir quelques détails.
Je vais commencer par Elle. Mais, souvenez vous, cette jeune fille, qui, hasard ou non vint à partager les fêtes de mon vingtième anniversaire.
Je vous ai déjà dis qu’elle était mignonne. Ce petit bout de femme devait mesurer 1.60 et était agréablement proportionnée. Des cheveux mis longs de couleur châtaigne, et fourbie de deux yeux marron magnifiques.
Elle était apparemment un peu timide, mais peut-être était-ce les circonstances.
A ce que je compris, elle était la nièce d’une des femmes de la soirée. Une grande brune supportant avec joie sa quarantaine en beauté. La jeunette m’avait été présentée comme étant la fille du frère de cette belle brune.
Je vous ai déjà dis que ce soir là nous devions elle et moi être initiés aux plaisirs du sexe et de la bisexualité.
Pour elle, cela se traduisit tout d’abord par une séance d’embrassades et de caresses diverses dispensées par ces trois femmes adultes. Accompagné de mes trois hommes, j’étais quant à moi chargé d’observer le jeu des femelles. Il me fallait apprendre comment régaler une femme, et en effet il n’y a rien de mieux que des femmes pour vous instruire de cela. On peut évidemment découvrir tout cela avec l’expérience, mais c’est bien plus divin que d’assister à la démonstration. Et on apprend plus vite évidemment.
Bref, les trois femmes ayant squatté le canapé du salon embrassaient, tâtaient la mignonne pour lui apprendre tous les gestes et toutes les gourmandises. On voyait que la grande brune était une parentèle . Dans ces conditions elle se comportait d’une façon plus douce et plus maternelle. Ses baisers étaient appuyés et véritables mais ils n’étaient pas aussi avides que les deux autres qui elle se défoulaient sans s’économiser. Une l’embrassait sur la bouche et lui caressait les seins et le ventre : La tata. Une autre avait écarté ses jambes et la suçait gentiment. Au passage, je fais remarquer que j’aime aussi utiliser le verbe sucer pour une femme. Le verbe lécher me parait masquer l’importance d’une telle caresse, comme s’il fallait l’amoindrir. Mais bon, passons sur ce problème de vocabulaire. 
Elle lui bouffait carrément la chatte si vous préférez. La jolie grognait de plaisir et ses membres étaient animés de façon désordonnée. La troisième avait saisi la main gauche de la fille et s’était introduit ses doigts dans sa founette. Elle lui demandait gentiment de les remuer.
Les hommes me demandaient de bien regarder ce qui allait suivre.
La suceuse, sans qu’aucun signe ne prévienne, se leva et s’éloigna pour revenir quelques instants  plus tard. Elle portait un linge sur le bras gauche et sa main droite était chargée d’une bassine remplie d’eau. La bassine faisait vraisemblablement partie de ces ustensiles de toilette à l’ancienne. Le broc et la bassine, vous voyez sûrement ce dont je veux vous parler. Le tout était charmant.
Cette fille vint se repositionner entre les cuisses ouvertes de la jeunette. Elle déposa la bassine au sol et s’appliqua à soulever les fesses de la mignonne aidée en cela par les deux autres. Les mouvements étaient lents et doux. Le linge fût glissé sous ses fesses.
Je regardais ce spectacle complètement ébahi. Mes yeux devaient me sortir de la tête. Un des hommes accroupi à ma gauche me caressait gentiment les fesses, un autre était debout et avait sa main légèrement posée sur ma nuque. C’est lui qui me parlait et me disait ce qui se passait. Il me demanda d’être plus attentif encore. Il n’avait pas besoin de trop insister tant j’étais captivé par la situation. Et dire que j’avais pensé que la soirée allait être gâchée.
La suceuse avait repris son œuvre, elle bouffait littéralement la chatte de la petite qui gémissait maintenant sans retenue.
Une pression sur la nuque me fit comprendre qu’un évènement se préparait. Je me penchais davantage pour mieux voir.
La suceuse approchait deux doigts quelle venait de mouiller avec sa propre salive. Elle écarta les lèvres de la « victime », la caressa de façon plus soutenue, ce qui déclancha l’humidité de la belle. Les deux doigts entrèrent. Conquérants. La fille fût un bref instant secouée d’un sursaut. Je me disais qu’il n’y avait là que de très banal quand j’aperçus du sang couler de sa jolie fente.
Emu, je venais d’assister au dépucelage de la minette.
Je n’ai quant à moi jamais aimé dépuceler une fille. J’ai toujours considéré cela comme frustrant car la fille débutante ne participe à rien. Mais la question n’est pas là. Assister à ce dépucelage en groupe était savoureux et je profitais du spectacle.J'imagine que la fille se souviendra toute sa vie de son dépucelage.Il me plait à penser qu'elle a évidemment conservé ses relations familiales avec sa jolie tante.
La suceuse se mit à prodiguer une toilette à la déniaisée pendant que sa tante lui disait : « Tu vois, c’est fini ma chérie ». La toilette se prolongeât. C’était devenu une séance de caresses incessantes. La tante embrassait maintenant sa nièce sans retenue et lui caressait les seins. Celle qui quelques instants auparavant se régalait des doigts de la belle avait maintenant échangé de place avec la suceuse. Je la voyais écarter les lèvres de la minette. Elle me demanda d’approcher davantage. Elle me fit voir la jolie fleur que je trouvais très belle. J’étais alors surpris de découvrir qu’effectivement « la fleur » ressemblait à une fleur. C’est la première fois que j’en voyais une et j’avais cru jusqu’alors qu’il s’agissait d’une métaphore.
Tu sais, un peu comme quand tu apprends que le sexe d’une femme s’appelle une chatte et que tu découvres qu’il n’y a rien de ressemblant de près ou de loin avec ce félin ou cette féline plutôt. Mais il faut bien que le sexe conserve quelque mystère.
Mais revenons à nos moutons……. La femme qui venait de m’offrir cette fleur me fit découvrir aussi le petit bouton nacré. Elle trempa ses doigts dans ce puits d’amour béant. Deux de ses doigts restèrent dans le doux ventre et je la vis titiller ce petit bouton avec la pointe de son pouce. La dépucelée s’agita et l’autre de me dire gentiment : «  tu vois, c’est ça le petit bouton magique » et elle s’employa à me faire voir les effets que ses caresses produisaient à la petite belette. Je bandais terriblement, les hommes me lachèrent et l’hôtesse me fit venir entre les cuisses de la Jeunette. Elle me saisit comme pour estimer mon état, et, satisfaite me tira par la queue pour ensuite prodiguer une double masturbation, la mienne comme celle de la jolie châtaigne. C’était un délice de douceur et de plaisir. Je ne sais pas qui me poussait les fesses, un homme ou une femme, mais ce que je sais c’est que cette poussée me fit pénétrer dans la chatte de la minette. (Ben oui, que voulez vous ?)
Les encouragements des six spectateurs n’étaient pas utiles en soi. Mais cela ne nous génait plus. Notre baise était déchaînée et notre jouissance quasi synchronisée. Des mains nous caressaient partout, s’introduisaient où elles pouvaient. Je pris des claques sur les fesses, on me suça les fesses et le cul. Mais là, je vous décrirais plus en détails ce que je dus subir cette nuit là. Car vous pensez bien que les choses ne pouvaient s’arrêter là. Les hommes comme les femmes devaient faire découvrir à la jolie comment s’occuper d’un homme. Et ce ne fût pas vraiment triste. à suivre donc.
Baisers, Jippé
 
Par jpp09 - Publié dans : Ma bisexualité
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Vendredi 4 janvier 5 04 /01 /Jan 23:28
Le jouet (suite) Dans le billet précédent j’indiquais que ce fût au cours de ce mois d’avril 1969 que j’avais découvert ma bisexualité. Ce n’est pas tout à fait vrai. En fait, je sais depuis l’enfance que j’ai ce qu’on appelle gentiment des tendances à la bisexualité. Ce jour là fût le premier acte délibéré et volontaire de partager les plaisirs avec un homme et une femme. J’en avais envie depuis bien plus longtemps. Ma vie sexuelle a débuté alors que j’avais 14 ans. J’étais aide moniteur dans une colonie de vacances à La Trinité sur mer dans le Morbihan (56). Une monitrice de 22 ans m’avait amené dans les greniers de la bâtisse sous le prétexte de chercher du papier crêpon et divers trucs de décoration.Tu parles! En fait, elle entreprit de m’embrasser et de me faire comprendre tous les usages que l’on pouvait faire de tout ces matelas qui se trouvaient entreposés là. Elle s’appelait Nicole, était grande ou étais-je encore petit. Elle avait une tresse unique formant sa coiffure. Inutile de dire que je ne résistais pas à ses assauts dynamiques. C’est évidemment un de mes meilleurs souvenirs.En tout cas ce fut le jour de mon dépucelage et il est cher à mon coeur. Mais , revenons à la suite de mon histoire avec ce jeune couple de Parisiens, rencontré sur la plage de calvi. Nous avions bien entendu échangés nos adresses et coordonnées téléphoniques respectives et il avait été convenu que nous nous retrouverions chez eux à Paris pour fêter mon anniversaire. Mes vingt ans, pensez donc si j'allais oublier. Excité par les moments partagés avec ces joyeux baiseurs, je me rendis à leur domicile, dans le 15 ème arrondissement de la Capitale. Je me disais que j’allais à nouveau me faire baiser et j’étais chaud comme une bouillotte. Arrivé sur le pallier de leur appartement j’entendis du bruit et de l’animation derrière leur porte. Je sonnais, légèrement fébrile. La Porte s’ouvrit. C’est elle qui se trouvait là devant moi. Elle me sourit et me fit entrer. Tout de suite je m’aperçu de la présence de plusieurs personnes, trois couples en réalité. Une jeune fille était là aussi, visiblement du même âge que moi. Elle était très mignonne. Mais ce qui me vint à l’esprit à ce moment là, c’était que ma soirée baise était à l’eau. J’en fus dépité un bon moment. Après les présentations d’usage et l’apéritif servi, nous passâmes à table. Et c’est vrai que mes hôtes n’avaient pas lésiné sur les denrées. La table était somptueuse et les plats très nombreux et variés. Je suppose maintenant qu’ils avaient fait appel à un traiteur, mais bon, de ceci nous nous en foutons, n’est-ce pas ? Au cours du repas, j’étais toujours persuadé que mon anniversaire allait se solder par une grosse bouffe et point. J’ai parfaitement le souvenir d’en avoir été chagriné grandement. Les discutions étaient joyeuses et abordaient plein de sujets que je ne maîtrisait pas. Je me gardais bien de mettre trop mon grain de sel et le repas se déroulait Agréablement lorsque je sentis que quelque chose venait de changer. Des regards s’échangeaient et les conversations avaient pris fin. L’hôtesse de maison quitta sa place et en douceur se mit à embrasser les convives, hommes et femmes, les uns après les autres, sur la bouche et très tendrement. Là , enfin, je compris que je m’étais trompé et que les choses allaient se « Corser » si je puis dire. Arrivée à ma jeune voisine d’en face, l’hôtesse s’attarda dans son baiser. Visiblement elle roulait un méga patin à la jeunette alors que les autres avaient eut droit à des baisers plus ou moins furtifs et non invasifs. Elle fît le tour de la tablée et arriva devant moi. Elle s’appliqua à m’accorder la même punition qu’à la donzelle. Sa langue envahit ma bouche goulûment. Je ne pouvais plus douter de ce qui allait suivre. A cette époque, l’échangisme était existant, sans aucun doute, mais on n’en parlait pas comme aujourd’hui. Mes hôtes avaient imaginé fêter mon anniversaire avec la réunion de trois couples échangistes et bisexuels. Leurs jeux constituèrent ce soir là à nous initier la jeune fille et moi aux délices de la bisexualité. Ainsi, à tour de rôle, nous passèrent dans « les mains » des trois femmes comme des trois hommes. Les femmes s’appliquèrent visiblement à instruire ma fiançée du soir au lesbianisme. Elles devaient aussi lui montrer comment s’occuper d’un homme et je dois dire qu’il ne manquait rien. Les hommes quant à eux me faisaient partager les délices des plaisirs « entre hommes » et bien sur, l’art de bien s’occuper d’une femme, voire de plusieurs en même temps. Cette initiation dura bien sur toute la nuit, avec des séances de repos, de repas, de douches de bains et de mignardises en tout genre. Bien entendu à un moment de la soirée, les trois couples décidèrent de nous accoupler la jeunette et moi. Histoire sans doute de vérifier si nous avions bien tout retenu. Dans mon cas, toujours, je n’ai jamais oublié cette nuit d’ivresse et tout l’acquis que j’accumulais le long des années qui suivirent, me raccrochait à cette expérience évidemment inoubliable. Par la suite, il m’est arrivé assez souvent de « coucher » avec deux femmes, des couples, deux hommes, mais plus jamais je n’ai eu l’occasion de passer une nuit avec plusieurs couples comme ce fût le cas cette nuit là. J’aurai pu chercher à fréquenter les milieux échangistes, mais je ne l’ai jamais tenté. Je préfère les occasions qui se présentent de façon impromptues. Si à vingt ans je ne voyais pas trop les « coups possibles », je devais très vite apprendre et sentir toutes les attirances que je provoquais aussi bien chez les femmes que chez les hommes. Et je n’ai pas souvenir d’avoir « raté » beaucoup de ces occasions. L’expérience vous apprend très vite à déceler les signes du désir. Renvoyer ces mêmes signaux pour dire qu’on a bien capté et qu’on est d’accord est très excitant. J’aime ce jeu dans lequel je n’ai jamais triché : j’adore baiser, j’adore me faire baiser et je n’ai pas besoin de sortir du placard pour goûter avec délice les joies diverses du sexe. Je m’applique à rendre avec équité les plaisirs que l’on m’offre. J’aime aussi initier aussi bien des hommes que des femmes à la pratique de la bisexualité en douceur. Voila comment j'ai fêté mon vingtième anniversaire. Ce 29 mai était le plus beau des 29 mai que je devais connaitre par la suite. Mais je ne me plains de rien. Faire la fête, je connais toute l'année. Bises, Jippé
Par jpp09 - Publié dans : Ma bisexualité
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Dimanche 30 décembre 7 30 /12 /Déc 09:47
Le Jouet
 
J’avais 19 ans, en ce temps là, je veux dire passé le milieu du vingtième siècle, on pouvait baiser sans crainte d’attraper quelque saloperie que ce soit, mais la question n’est pas là.
Je me trouvais en vacances à Calvi, et en cette fin d’après midi d'avril, je grillais mes fesses au soleil. A cette saison la plage est peu fréquentée, et je fus surpris de voir un couple s’installer à peu de distance.
D’abord un peu agacé, une conversation débuta à propos d’un briquet qu’il me fallu prêter en vue d’allumer la cigarette de Madame. Elle devait avoir 25 26 ans et lui 28 30, pas plus.
La conversation qu’ils entreprirent de tenir tournait autour de la philosophie zen dont ils étaient adeptes et de la cuisine macrobiotique, qui selon eux, la complétait harmonieusement.
J’étais déjà un garçon fort sympathique, et je ne dérobais pas à ces confidences philosophico-culinaires.
L’après midi s’achevait, le soleil se couchait, tout à fait de plus normal en Corse, et mes deux oiseaux me proposèrent de poursuivre ce dialogue autour d’un rafraîchissement dans leur villa de location. Je les suivaient donc et nous entrâmes dans un salon immense et encore éclairé, même faiblement, par les derniers rayons de Râ.
Elle, comme lui était magnifiques. Elle nous prévint qu’elle s’absentait quelques instants pour préparer la boisson promise. Lorsqu’elle revint, elle était seulement vêtue d’un paréo qui ne cachait pas grand-chose de sa féminité. Comment vous dire ? Elle était de taille moyenne et agréablement plantureuse. Bien plus proche de la physionomie d’une L.Casta ou d’une S. Marceau que d’une J Birkin si vous voyez ce que je veux dire. Au peu de traces laissées par son soutien gorge, et malgré ma jeunesse, je compris rapidement que leur exposition au soleil ne se pratiquait pas, pour l’essentiel sur la plage. Leur bronzage à tout deux était intégral pour ce qui était de ce que j’en apercevais. Elle tenait à sa main un plateau sur lequel figuraient trois verres « orangeade » et la carafe du même style. Vous pensez bien que ma vision ne s’attardait pas trop sur ce détail secondaire .
J’étais assis dans un fauteuil confortable et lui légèrement allongé sur un canapé qui me faisait face.
Elle se dirigea vers lui, ayant prit soin de déposer le plateau sur une table basse qui se trouvait là. Elle lui tendit son verre et je vis tout de suite que ses mains partaient à la recherche des formes généreuses de sa compagne. Ses mains semblaient muées par des mouvements lents et indépendants. Sa main gauche parvint à englober le sein de la belle qui s’était accroupie au pied du canapé.
A ce moment, je ne savais pas où me mettre, partagé que j’étais entre l’idée de les regarder avidement ou de prendre mes jambes à mon cou, ce qui doit être difficile à réaliser si on y réfléchit bien. Je sentis le rouge me monter aux joues, et vu le sourire bienveillant du Monsieur, je compris assez satisfait tout de même, que j’étais invité à rester. Ils s’embrassaient devant moi maintenant sans complexe et se caressaient à qui mieux mieux.
Après quelques instants, elle sembla se souvenir de ma présence, et sans honte apparente se releva et rajusta son paréo. Elle vint vers moi. Au passage, elle ramassa mon verre sur la table et me le tendit gentiment. Je peux dire ici que cette vision merveilleuse m’avait fait sortir de mon slip de bain qui ne put me contenir davantage. Je bandais et c’était évidement visible.
Elle se mit à rire et, prenant son homme à témoin elle se mit à dire une petite amabilité du genre : « regarde chéri, tu as vu s’il est mignon ? » Mon rouge aux joues ne fît que s’accentuer, mais les deux amants me souriaient gentiment.
Elle s’agenouilla devant moi et délicatement mit, sa main sur mon sexe et sans plus rien faire. J’étais aux anges, vous le comprendrez aisément.
Elle se levit et, voulant m’entraîner à ce que je compris vers la chambre, elle prononçât cette phrase que je retenais de suite : « Tu viens avec nous chéri ? »
Et lui de répondre : «  je finis mon verre et j’arrive. »
à peine arrivés au seuil de la porte elle me jeta sur le lit et entreprit de m’ôter ce slip de bain devenu parfaitement inutile. Elle ne tarda pas à m’emboucher et à me régaler de toutes les mignardises dont elle était capable. Elle me suçait jusqu’à la moëlle, et je me tortillais comme un ver de cette fellation goulue, à la fois si délicieuse et si proche de la douleur.
Elle cessa ce jeu pour me demander crûment de la baiser. Elle s’allongeât sur le dos, et m’attrapant à pleine main, entreprit de se masturber, mon gland à la porte de son puits d’amour. Elle m’attrapa les fesses d’un coup afin de m’enfoncer davantage dans son gouffre chaud et humide. C’était visiblement une jouisseuse ardente et elle ne tarda pas à me demander de la prendre avec un peu plus de conviction et d’ardeur. J’obéis immédiatement à cette requête.
C’est à ce moment là, que je sentis la présence de l’autre mâle se manifester. Il était nu et effectivement arborait un bronzage intégral. Son corps athlétique et bien proportionné luisait dans le clair obscur. Il se dirigeât, sexe fièrement en avant, vers la tête de sa chérie en vue d’obtenir une faveur. Ce qu’elle s’empressât de faire l’attrapant goulûment et le fit disparaître dans sa bouche magique. J’ai déjà dis que c’était une jouisseuse. La situation triangulaire semblait la satisfaire grandement et elle grognait de plaisir, proche de l’orgasme. Elle se régalait visiblement. Je continuais quant à moi à la besogner tout en admirant le spectacle qui s’offrait à mes yeux. Suçant son homme, elle jouissait maintenant avec force de cris. Et je voyais ce sexe bandé apparaître et disparaître au gré d’une masturbation effrénée. Il avait une très belle bite, munie de son prépuce qu’elle avait savamment roulé sur la hampe.
Saisie par l’orgasme, elle eut un brusque mouvement de recul laissant la belle bite dangereusement à découvert. Sans plus réfléchir, d’instinct ma bouche prit la place de Madame, ce qui ne manquat pas d’exacerber sa jouissance. Il se laissat faire et je m’appliquais à faire aussi bien qu’elle. Sa bite avait une légère odeur fauve, et je me régalais de le sucer alors que mon sexe était encore dans le ventre de sa chérie. Elle finit par se dégager de dessous moi et je la sentis disparaître pour revenir quelques instants plus tard.
Je suçais toujours son homme et je me trouvais les fesses en l’air. Lui avait prit position pour que je me trouve entre ses cuisses. A un mouvement imperceptible du matelas, je compris qu'elle venait de revenir. Je sentis deux mains se poser sur mes fesses, un peu comme pour les écarter. Tout de suite après, un souffle chaud vint caresser mon petit cul. Puis tout s'accéléra, je feûlais en sentant une langue chaude et humide me caresser mon petit plissé. Elle continuait de jouir de la situation. je l'entendais à sa respiration forte et courte. Elle aimait ce qu'elle faisait et elle s'appliquait. Un de ses doigts m'envahit soudainement, et elle entreprit de le faire voyager. Le dilemne semblait être: "je rentre , je sors" bref, le signe apparent d'une fausse  hésitation. Un deuxième doigt rejoignit le premier et l'ardeur de la caresse pénétrante se fit plus vive. Elle me dilatait et j'adorait ça. Ensuite, un curieux bruit fit son apparition. on aurait dit un essaim d'abeilles. Je sentis à ce moment là que le jeu avait changé. Elle m'enfonçait un godemiché vibrant dans le derrière et se régalait de ce spectacle autant que moi de cette sensation nouvelle.
J'avais cru quelques instants plus tôt qu'ELLE serait le jouet des deux mâles que nous étions, et je comprenais brusquement que le jouet, c'était moi. J'avais un peu honte, mais je constatais avec bonheur que j'avais plaisir à avoir honte. C'est un sentiment qui ne m'a jamais quitté par la suite. Je sentis les mains de cette femme m'aggriper les hanches. Elle profita de cette posture pour m'enfoncer davantage le gode avec son pubis, ce qui ne manqua pas d'achever son plaisir et sa jouissance. Elle finit par se dégager doucement tout en demandant à son amant de venir prendre sa place: " viens voir chéri ce joili cul". je ne bougeais pas. l'attente ne fut pas longue, il se positionna derrière moi et sans autre préparation me pénétra en douceur mais profondément. elle l'encourageait des ses mots grivois et il ne tarda pas à jouir intensément entre mes fesses. 
Ainsi, la première personne qui me sodomisa était une femme.
Toute la nuit qui suivit fut passée à baiser. Ce jour là, je venais d'apprendre plusieurs choses:
Un: la découverte de ma bisexualité finalement sans complexe.
Deux: le godemiché et ses jeux.
trois: l'amour à trois et ses délices.
Je devais me souvenir par la suite de tout ces sentiments qui devaient former ce que j'appellerai un des meilleurs souvenirs de ma vie sexuelle. Mais l'histoire ne devait pas s'arrêter là car ces deux amants magnifiques étaient Parisiens comme moi. Nous devions nous retrouver le mois suivant à Paris et à l'occasion de mon vingtième anniversaire. mais c'est une autre histoire que je vous conterai la prochaine fois.
 
Par jpp09 - Publié dans : Ma bisexualité
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