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Dimanche 6 janvier 7 06 /01 /Jan 16:45
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Elle.
 
Vous avez sans doute remarqué que la fin de mon billet précédent laissait quelque peu « sur la faim ». je m’en viens donc vous offrir quelques détails.
Je vais commencer par Elle. Mais, souvenez vous, cette jeune fille, qui, hasard ou non vint à partager les fêtes de mon vingtième anniversaire.
Je vous ai déjà dis qu’elle était mignonne. Ce petit bout de femme devait mesurer 1.60 et était agréablement proportionnée. Des cheveux mis longs de couleur châtaigne, et fourbie de deux yeux marron magnifiques.
Elle était apparemment un peu timide, mais peut-être était-ce les circonstances.
A ce que je compris, elle était la nièce d’une des femmes de la soirée. Une grande brune supportant avec joie sa quarantaine en beauté. La jeunette m’avait été présentée comme étant la fille du frère de cette belle brune.
Je vous ai déjà dis que ce soir là nous devions elle et moi être initiés aux plaisirs du sexe et de la bisexualité.
Pour elle, cela se traduisit tout d’abord par une séance d’embrassades et de caresses diverses dispensées par ces trois femmes adultes. Accompagné de mes trois hommes, j’étais quant à moi chargé d’observer le jeu des femelles. Il me fallait apprendre comment régaler une femme, et en effet il n’y a rien de mieux que des femmes pour vous instruire de cela. On peut évidemment découvrir tout cela avec l’expérience, mais c’est bien plus divin que d’assister à la démonstration. Et on apprend plus vite évidemment.
Bref, les trois femmes ayant squatté le canapé du salon embrassaient, tâtaient la mignonne pour lui apprendre tous les gestes et toutes les gourmandises. On voyait que la grande brune était une parentèle . Dans ces conditions elle se comportait d’une façon plus douce et plus maternelle. Ses baisers étaient appuyés et véritables mais ils n’étaient pas aussi avides que les deux autres qui elle se défoulaient sans s’économiser. Une l’embrassait sur la bouche et lui caressait les seins et le ventre : La tata. Une autre avait écarté ses jambes et la suçait gentiment. Au passage, je fais remarquer que j’aime aussi utiliser le verbe sucer pour une femme. Le verbe lécher me parait masquer l’importance d’une telle caresse, comme s’il fallait l’amoindrir. Mais bon, passons sur ce problème de vocabulaire. 
Elle lui bouffait carrément la chatte si vous préférez. La jolie grognait de plaisir et ses membres étaient animés de façon désordonnée. La troisième avait saisi la main gauche de la fille et s’était introduit ses doigts dans sa founette. Elle lui demandait gentiment de les remuer.
Les hommes me demandaient de bien regarder ce qui allait suivre.
La suceuse, sans qu’aucun signe ne prévienne, se leva et s’éloigna pour revenir quelques instants  plus tard. Elle portait un linge sur le bras gauche et sa main droite était chargée d’une bassine remplie d’eau. La bassine faisait vraisemblablement partie de ces ustensiles de toilette à l’ancienne. Le broc et la bassine, vous voyez sûrement ce dont je veux vous parler. Le tout était charmant.
Cette fille vint se repositionner entre les cuisses ouvertes de la jeunette. Elle déposa la bassine au sol et s’appliqua à soulever les fesses de la mignonne aidée en cela par les deux autres. Les mouvements étaient lents et doux. Le linge fût glissé sous ses fesses.
Je regardais ce spectacle complètement ébahi. Mes yeux devaient me sortir de la tête. Un des hommes accroupi à ma gauche me caressait gentiment les fesses, un autre était debout et avait sa main légèrement posée sur ma nuque. C’est lui qui me parlait et me disait ce qui se passait. Il me demanda d’être plus attentif encore. Il n’avait pas besoin de trop insister tant j’étais captivé par la situation. Et dire que j’avais pensé que la soirée allait être gâchée.
La suceuse avait repris son œuvre, elle bouffait littéralement la chatte de la petite qui gémissait maintenant sans retenue.
Une pression sur la nuque me fit comprendre qu’un évènement se préparait. Je me penchais davantage pour mieux voir.
La suceuse approchait deux doigts quelle venait de mouiller avec sa propre salive. Elle écarta les lèvres de la « victime », la caressa de façon plus soutenue, ce qui déclancha l’humidité de la belle. Les deux doigts entrèrent. Conquérants. La fille fût un bref instant secouée d’un sursaut. Je me disais qu’il n’y avait là que de très banal quand j’aperçus du sang couler de sa jolie fente.
Emu, je venais d’assister au dépucelage de la minette.
Je n’ai quant à moi jamais aimé dépuceler une fille. J’ai toujours considéré cela comme frustrant car la fille débutante ne participe à rien. Mais la question n’est pas là. Assister à ce dépucelage en groupe était savoureux et je profitais du spectacle.J'imagine que la fille se souviendra toute sa vie de son dépucelage.Il me plait à penser qu'elle a évidemment conservé ses relations familiales avec sa jolie tante.
La suceuse se mit à prodiguer une toilette à la déniaisée pendant que sa tante lui disait : « Tu vois, c’est fini ma chérie ». La toilette se prolongeât. C’était devenu une séance de caresses incessantes. La tante embrassait maintenant sa nièce sans retenue et lui caressait les seins. Celle qui quelques instants auparavant se régalait des doigts de la belle avait maintenant échangé de place avec la suceuse. Je la voyais écarter les lèvres de la minette. Elle me demanda d’approcher davantage. Elle me fit voir la jolie fleur que je trouvais très belle. J’étais alors surpris de découvrir qu’effectivement « la fleur » ressemblait à une fleur. C’est la première fois que j’en voyais une et j’avais cru jusqu’alors qu’il s’agissait d’une métaphore.
Tu sais, un peu comme quand tu apprends que le sexe d’une femme s’appelle une chatte et que tu découvres qu’il n’y a rien de ressemblant de près ou de loin avec ce félin ou cette féline plutôt. Mais il faut bien que le sexe conserve quelque mystère.
Mais revenons à nos moutons……. La femme qui venait de m’offrir cette fleur me fit découvrir aussi le petit bouton nacré. Elle trempa ses doigts dans ce puits d’amour béant. Deux de ses doigts restèrent dans le doux ventre et je la vis titiller ce petit bouton avec la pointe de son pouce. La dépucelée s’agita et l’autre de me dire gentiment : «  tu vois, c’est ça le petit bouton magique » et elle s’employa à me faire voir les effets que ses caresses produisaient à la petite belette. Je bandais terriblement, les hommes me lachèrent et l’hôtesse me fit venir entre les cuisses de la Jeunette. Elle me saisit comme pour estimer mon état, et, satisfaite me tira par la queue pour ensuite prodiguer une double masturbation, la mienne comme celle de la jolie châtaigne. C’était un délice de douceur et de plaisir. Je ne sais pas qui me poussait les fesses, un homme ou une femme, mais ce que je sais c’est que cette poussée me fit pénétrer dans la chatte de la minette. (Ben oui, que voulez vous ?)
Les encouragements des six spectateurs n’étaient pas utiles en soi. Mais cela ne nous génait plus. Notre baise était déchaînée et notre jouissance quasi synchronisée. Des mains nous caressaient partout, s’introduisaient où elles pouvaient. Je pris des claques sur les fesses, on me suça les fesses et le cul. Mais là, je vous décrirais plus en détails ce que je dus subir cette nuit là. Car vous pensez bien que les choses ne pouvaient s’arrêter là. Les hommes comme les femmes devaient faire découvrir à la jolie comment s’occuper d’un homme. Et ce ne fût pas vraiment triste. à suivre donc.
Baisers, Jippé
 
Par jpp09 - Publié dans : Ma bisexualité
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