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Vendredi 1 février 5 01 /02 /Fév 12:39
Deux mois après mes premières expériences bisexuelles, de-profil.jpg je faisais mon service militaire.
Je n'en ai pas beaucoup souffert, jugez en: 
J'ai passé mes classes au Bourget durant un mois.
Il faut dire que j'habitais Paris alors, vous vous en souvenez.
Après mes "classes", je fûs affecté au Ministère de l'air, place Balard à Paris.
Après m'être présenté, on, me fit savoir avec désolation que je ne pouvais malheureusement pas loger sur la base, compte tenu du fait que j'avais une habitation à Paris, chez mes parents.
En tenue et le pouce levé en l'air, j'étais chez moi 20 minutes après ma sortie de la caserne. Vous le voyez, ce n'était pas le bagne.
C'était d'autant moins le bagne, que je fûs affecté ensuite dans un bâtiment d'expertise du personnel naviguant de l'aéronotique tant civil que militaire. 4 mois après, je grimpait d'un étage, et je me trouvais en "médecine" et uniquement avec des médecins appelés qui me signaient mes perm's. C'est dire si j'en ai eu et abusé.
Ils refusaient d'ailleurs que je mette sur ma porte: " soldat de première classe".
Il me fallu donc à leur demande inscrire: " médecin Aspirant......." ce qui fit de moi un toubib et me valut de porter blouse blanche.
le plus fort n'est pas là. Je tenais le poste électrocardiographie et comme par hasard, je faisais passer des électrocardiogrammes aux hotesses de l'air militaires et civiles, des compagnies aériennes Françaises.
Les filles entraient chez moi et je les invitais bien sur à se mettre torse nu et à retirer leurs bas. (pour un meilleur contact des électrodes)
Vous voyez si j'ai beaucoup souffert. Le nombre de rencards que j'obtins est considérable et je ne m'en plains pas.
Bon. Il faut aussi que je vous parle de José. 
Au Bourget, partageant ma chambrée, il y avait un jeune Antillais magnifique et nous ne tardâmes pas à devenir les meilleurs amis du monde.
José avait 20 ans comme moi, comme moi il mesurait 1,80m et était musclé très harmonieusement. Il était très beau gosse et je m'aperçus très vite que son intérêt pour moi dépassait la simple camaraderie. Ses regards ne trompaient pas. Il avait manifestement envie de moi, cela ne faisait aucun doute.
Un jour, sur la base du ministère je lui rendis une visite à ses bureaux. il se trouvait seul, en uniforme et lisait un journal illustré au comptoir de son bureau. je m'approchais et me plaçais à sa gauche comme pour lire au dessus de son épaule.
Il se colla à moi tout de suite. Tout en lisant, il commença à me caresser le haut de la cuisse à travers mon pantalon. Comme je ne réagissais pas , il s'enhardit et en vint très vite à me caresser la bite. C'était délicieux et je me laissais faire jusqu'à la jouissance.
Ce fût l'occasion pour moi de découvrir qu'avec les garçons et les hommes, j'étais davantage passif qu'actif.
Cela bien sur ne signifie pas que je sois inactif, mais, les bisexuels hommes et femmes savent ce dont je veux parler.
J'aime sentir qu'un garçon ou qu'un homme désire me posséder. En cela, je connais le bonheur des filles et des femmes qui se sentent désirées. J'aime aussi que les filles et les femmes me désirent de la même manière.
José m'avait fait jouir dans mon slip et son désir pour moi ne fît aucun doute. Il me demanda comment il était possible de nous retrouver discrètement pour "flirter".
je décidais que je l'inviterai à me rejoindre aux heures de repas dans mon bureau. Celui ci était doté d'une table d'examen pour les électrocardiogrammes, et c'est sur ce lit improvisé qu'il me grimpa dessus pour m'embrasser. Ses joues piquaient, mais je m'en moquais, j'acceptais ses baisers et ses caresses rudes sur mon corps.
Bien sur cela ne lui siffisait pas, il brûlait d'envie de m'enculer, je le compris très vite et cela m'excita au plus haut point.
je profitais d'une descente de ma famille dans le sud est pour dire que je préférai rester seul à paris pour quelque temps et j'organisais la venue de José à la maison.
Il sonna à la porte. j'ouvris et le fit entrer. je l'embrassais sur la bouche d'entrée, un petit bec, histoire de bien faire comprendre à José que j'attendais la même chose que lui: une partie de trou du cul. Il n'était pas venu pour faire copain et j'attendais autre chose de lui. je voulais qu'il me désire ardemment. j'aime cette sensation et je comprends les femmes qui aiment être désirées. Je sais ce que ce la signifie et c'est un sentiment très excitant.
Il était en uniforme de l'armée de l'air. Bleu marine ( eh oui) avec un calot sur la tête. je lui avait dis de ne surtout pas se cacher, ni de raser les murs. le meilleur moyen de se faire remarquer et repérer, c'est de se cacher.
  j'étais quant à moi vétu d'une robe de chambre en satin et à motifs chinois.
je savais ce que je voulais, mais il fallait qu'il  me drague. je m'installais sur un fauteuil dans le salon, les pieds sur le canapé. José s'approcha de moi et s'accroupit à mes cotés.
Il commença à me caresser les jambes et remonta très vite à la recherche de mon slip et de ma queue.
Il m'écarta les cuisses pour mieux me respirer. Il ne tarda pas à me retirer mon slip, je ne résistais pas.
Il s'empara de ma bite pour la sucer et me caressa les couilles avec bonheur.
J'avais posé ma main droite sur son épaule, manière de l'encourager à poursuivre ses caresses et léchouilles. Il m'avait attrapé la queue fermement maintenant et il la suçait avec gourmandise. ses hummmms de satisfaction m'excitaient au plus haut point.
je me levais bientot et l'entraînais vers  ma chambre. Nous nous déhabillâment mutuellement avec maladresse. une fois nu, il se couchât sur le lit sans pudeur. Il avait une superbe queue bien droite et de couleur ambrée. j'eu
s tout de suite envie de la toucher et de la sucer, ce que je fîs. J'adorai lui faire plaisir, le branler, lui sucer le gland, caresser ses couilles qui avaient du mal à tenir toutes deux dans ma main.
Il eut assez rapidement assez de mes caresses, peut-être par peur que je le conduise trop rapidement à l'éjaculation.
Il se dégagea donc pour m'entreprendre à son tour. Il m'embrassait sauvagement. je sentais sa barbe naissante m'irriter les joues mais pour rien au monde je ne l'aurai arrêté.
Il n'y avait aucune douceur dans ses caresses. je sentais bien qu'il avait hâte de m'enculer, et je le laissais venir. 
Visiblement sa préférence allait vers une position consistant à placer mes jambes sur ses épaules. Il me dit que c'est  comme ça qu'il préférait. Il me suça très rapidement à mon plus grand délice, puis vint se positionner entre mes jambes relevées. Il m'encula sans plus de préparation, ce qui me fît un peu mal, mais il était hors de question d'échapper à son emprise. j'adorai qu'il m'encule, et il le fit avec hardiesse et rudeur.
Bien que terriblement excité, il se retenait de jouir et son enculade dura un bon moment ce qui augmenta mon plaisir. Enfin, il se libéra dans mon cul et j'étais ravi d'entendre ses grognements farouches.
Nous nous reposâmes ensuite et je lui fis sa toilette.
J'étais content de moi, il avait visiblement pris beaucoup de plaisir à me baiser. Il ne tardat pas à me le prouver, nos rendez vous se firent ensuite dans des hôtels Parisiens ce qui augmentait le coté "dangereux" et "risqué" de nos rencontres.
La dernière fois que nous nous sommes vus, il était descendu avec toute sa famille à Paris. papa, maman et une floppée de gosses ce qui me fit penser tout d'abord qu'il serait impossible de faire l'amour.
 Je pris donc une chambre près de la sienne cette nuit là. quant il vint me rejoindre à une heure tardive, il n'était pas seul. Il avait amené à ce qu'il me dit son "cousin".  je ne compris pas tout de suite de quoi il était question, mais finalement, quand José se mit à me caresser sans ambiguité sous le regard de l'autre, je compris qu'ils avaient tout deux envie de moi. j'acceptai et ils me baisèrent et m'enculèrent toute la nuit.
j'ai malheureusement perdu les coordonnées de ce camarade de régiment et j'en suis désolé. Encore aujourd'hui, il m'arrive de rêver le revoir un jour et pourquoi pas lui donner le plaisir qu'il attend.
Je ne sais que très peu de choses. il s'appeleait José, son père était le patron de Coca Cola en Martinique ou à la Gouadeloupe, je ne suis plus certain, mais peu importe, même avec toutes ces années passées , je suis sur que je lui plairai à nouveau. Il devait être bisexuel comme moi, et quand on a aucune raison d'en souffrir on le reste toute sa vie.
Après José, il m'est arrivé plein d'aventures hétéro et bisexuelles et je n'ai pas fini de m'en régaler et de donner du bonheur aux femmes comme à certains hommes qui me l'ont bien rendu.
je vous en reparlerai bientôt.
laissez moi des com's, j'adore.
Par jpp09 - Publié dans : Baise entre hommes
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