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Dimanche 30 décembre 7 30 /12 /Déc 09:47
Le Jouet
 
J’avais 19 ans, en ce temps là, je veux dire passé le milieu du vingtième siècle, on pouvait baiser sans crainte d’attraper quelque saloperie que ce soit, mais la question n’est pas là.
Je me trouvais en vacances à Calvi, et en cette fin d’après midi d'avril, je grillais mes fesses au soleil. A cette saison la plage est peu fréquentée, et je fus surpris de voir un couple s’installer à peu de distance.
D’abord un peu agacé, une conversation débuta à propos d’un briquet qu’il me fallu prêter en vue d’allumer la cigarette de Madame. Elle devait avoir 25 26 ans et lui 28 30, pas plus.
La conversation qu’ils entreprirent de tenir tournait autour de la philosophie zen dont ils étaient adeptes et de la cuisine macrobiotique, qui selon eux, la complétait harmonieusement.
J’étais déjà un garçon fort sympathique, et je ne dérobais pas à ces confidences philosophico-culinaires.
L’après midi s’achevait, le soleil se couchait, tout à fait de plus normal en Corse, et mes deux oiseaux me proposèrent de poursuivre ce dialogue autour d’un rafraîchissement dans leur villa de location. Je les suivaient donc et nous entrâmes dans un salon immense et encore éclairé, même faiblement, par les derniers rayons de Râ.
Elle, comme lui était magnifiques. Elle nous prévint qu’elle s’absentait quelques instants pour préparer la boisson promise. Lorsqu’elle revint, elle était seulement vêtue d’un paréo qui ne cachait pas grand-chose de sa féminité. Comment vous dire ? Elle était de taille moyenne et agréablement plantureuse. Bien plus proche de la physionomie d’une L.Casta ou d’une S. Marceau que d’une J Birkin si vous voyez ce que je veux dire. Au peu de traces laissées par son soutien gorge, et malgré ma jeunesse, je compris rapidement que leur exposition au soleil ne se pratiquait pas, pour l’essentiel sur la plage. Leur bronzage à tout deux était intégral pour ce qui était de ce que j’en apercevais. Elle tenait à sa main un plateau sur lequel figuraient trois verres « orangeade » et la carafe du même style. Vous pensez bien que ma vision ne s’attardait pas trop sur ce détail secondaire .
J’étais assis dans un fauteuil confortable et lui légèrement allongé sur un canapé qui me faisait face.
Elle se dirigea vers lui, ayant prit soin de déposer le plateau sur une table basse qui se trouvait là. Elle lui tendit son verre et je vis tout de suite que ses mains partaient à la recherche des formes généreuses de sa compagne. Ses mains semblaient muées par des mouvements lents et indépendants. Sa main gauche parvint à englober le sein de la belle qui s’était accroupie au pied du canapé.
A ce moment, je ne savais pas où me mettre, partagé que j’étais entre l’idée de les regarder avidement ou de prendre mes jambes à mon cou, ce qui doit être difficile à réaliser si on y réfléchit bien. Je sentis le rouge me monter aux joues, et vu le sourire bienveillant du Monsieur, je compris assez satisfait tout de même, que j’étais invité à rester. Ils s’embrassaient devant moi maintenant sans complexe et se caressaient à qui mieux mieux.
Après quelques instants, elle sembla se souvenir de ma présence, et sans honte apparente se releva et rajusta son paréo. Elle vint vers moi. Au passage, elle ramassa mon verre sur la table et me le tendit gentiment. Je peux dire ici que cette vision merveilleuse m’avait fait sortir de mon slip de bain qui ne put me contenir davantage. Je bandais et c’était évidement visible.
Elle se mit à rire et, prenant son homme à témoin elle se mit à dire une petite amabilité du genre : « regarde chéri, tu as vu s’il est mignon ? » Mon rouge aux joues ne fît que s’accentuer, mais les deux amants me souriaient gentiment.
Elle s’agenouilla devant moi et délicatement mit, sa main sur mon sexe et sans plus rien faire. J’étais aux anges, vous le comprendrez aisément.
Elle se levit et, voulant m’entraîner à ce que je compris vers la chambre, elle prononçât cette phrase que je retenais de suite : « Tu viens avec nous chéri ? »
Et lui de répondre : «  je finis mon verre et j’arrive. »
à peine arrivés au seuil de la porte elle me jeta sur le lit et entreprit de m’ôter ce slip de bain devenu parfaitement inutile. Elle ne tarda pas à m’emboucher et à me régaler de toutes les mignardises dont elle était capable. Elle me suçait jusqu’à la moëlle, et je me tortillais comme un ver de cette fellation goulue, à la fois si délicieuse et si proche de la douleur.
Elle cessa ce jeu pour me demander crûment de la baiser. Elle s’allongeât sur le dos, et m’attrapant à pleine main, entreprit de se masturber, mon gland à la porte de son puits d’amour. Elle m’attrapa les fesses d’un coup afin de m’enfoncer davantage dans son gouffre chaud et humide. C’était visiblement une jouisseuse ardente et elle ne tarda pas à me demander de la prendre avec un peu plus de conviction et d’ardeur. J’obéis immédiatement à cette requête.
C’est à ce moment là, que je sentis la présence de l’autre mâle se manifester. Il était nu et effectivement arborait un bronzage intégral. Son corps athlétique et bien proportionné luisait dans le clair obscur. Il se dirigeât, sexe fièrement en avant, vers la tête de sa chérie en vue d’obtenir une faveur. Ce qu’elle s’empressât de faire l’attrapant goulûment et le fit disparaître dans sa bouche magique. J’ai déjà dis que c’était une jouisseuse. La situation triangulaire semblait la satisfaire grandement et elle grognait de plaisir, proche de l’orgasme. Elle se régalait visiblement. Je continuais quant à moi à la besogner tout en admirant le spectacle qui s’offrait à mes yeux. Suçant son homme, elle jouissait maintenant avec force de cris. Et je voyais ce sexe bandé apparaître et disparaître au gré d’une masturbation effrénée. Il avait une très belle bite, munie de son prépuce qu’elle avait savamment roulé sur la hampe.
Saisie par l’orgasme, elle eut un brusque mouvement de recul laissant la belle bite dangereusement à découvert. Sans plus réfléchir, d’instinct ma bouche prit la place de Madame, ce qui ne manquat pas d’exacerber sa jouissance. Il se laissat faire et je m’appliquais à faire aussi bien qu’elle. Sa bite avait une légère odeur fauve, et je me régalais de le sucer alors que mon sexe était encore dans le ventre de sa chérie. Elle finit par se dégager de dessous moi et je la sentis disparaître pour revenir quelques instants plus tard.
Je suçais toujours son homme et je me trouvais les fesses en l’air. Lui avait prit position pour que je me trouve entre ses cuisses. A un mouvement imperceptible du matelas, je compris qu'elle venait de revenir. Je sentis deux mains se poser sur mes fesses, un peu comme pour les écarter. Tout de suite après, un souffle chaud vint caresser mon petit cul. Puis tout s'accéléra, je feûlais en sentant une langue chaude et humide me caresser mon petit plissé. Elle continuait de jouir de la situation. je l'entendais à sa respiration forte et courte. Elle aimait ce qu'elle faisait et elle s'appliquait. Un de ses doigts m'envahit soudainement, et elle entreprit de le faire voyager. Le dilemne semblait être: "je rentre , je sors" bref, le signe apparent d'une fausse  hésitation. Un deuxième doigt rejoignit le premier et l'ardeur de la caresse pénétrante se fit plus vive. Elle me dilatait et j'adorait ça. Ensuite, un curieux bruit fit son apparition. on aurait dit un essaim d'abeilles. Je sentis à ce moment là que le jeu avait changé. Elle m'enfonçait un godemiché vibrant dans le derrière et se régalait de ce spectacle autant que moi de cette sensation nouvelle.
J'avais cru quelques instants plus tôt qu'ELLE serait le jouet des deux mâles que nous étions, et je comprenais brusquement que le jouet, c'était moi. J'avais un peu honte, mais je constatais avec bonheur que j'avais plaisir à avoir honte. C'est un sentiment qui ne m'a jamais quitté par la suite. Je sentis les mains de cette femme m'aggriper les hanches. Elle profita de cette posture pour m'enfoncer davantage le gode avec son pubis, ce qui ne manqua pas d'achever son plaisir et sa jouissance. Elle finit par se dégager doucement tout en demandant à son amant de venir prendre sa place: " viens voir chéri ce joili cul". je ne bougeais pas. l'attente ne fut pas longue, il se positionna derrière moi et sans autre préparation me pénétra en douceur mais profondément. elle l'encourageait des ses mots grivois et il ne tarda pas à jouir intensément entre mes fesses. 
Ainsi, la première personne qui me sodomisa était une femme.
Toute la nuit qui suivit fut passée à baiser. Ce jour là, je venais d'apprendre plusieurs choses:
Un: la découverte de ma bisexualité finalement sans complexe.
Deux: le godemiché et ses jeux.
trois: l'amour à trois et ses délices.
Je devais me souvenir par la suite de tout ces sentiments qui devaient former ce que j'appellerai un des meilleurs souvenirs de ma vie sexuelle. Mais l'histoire ne devait pas s'arrêter là car ces deux amants magnifiques étaient Parisiens comme moi. Nous devions nous retrouver le mois suivant à Paris et à l'occasion de mon vingtième anniversaire. mais c'est une autre histoire que je vous conterai la prochaine fois.
 
Par jpp09 - Publié dans : Ma bisexualité
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