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Samedi 12 janvier 6 12 /01 /Jan 20:29
Moi
 
Je suppose, (rien à voir avec les mâchins pointus qu'on est obligé de se mettre dans le fondement pour soigner un mal de gorge, par exemple) je suppose que vous vous êtes régalés à lire mon précédent billet où il était question du déniaisement d'une jeune fille le soir de mon vingtième anniversaire, voici quelque temps déjà. Mais bon, je prétends être resté jeune et je souhaite le rester le plus longtemps possible.
Il me fût donc offert ce soir là, de découvrir comment régaler une femme, par des femmes; mais la soirée avait aussi pour but d'enseigner à la jeune fille qui venait de perdre son pucelage, comment s'occuper d'un garçon. Et là, bien sur, cela me concernait directement. Les trois hommes, comme les trois femmes, ce soir là s'employèrent gentiment  à faire voir à cette petite tous les petits trucs pour faire monter un mec aux rideaux.
Et, comme ce furent les nanas qui me montrèrent comment m'occuper de la jeunette, bien évidemment, pour commencer, ce furent les hommes qui lui montrèrent comment s'occuper de moi. J’étais tout à fait volontaire et intéressé, tu parles. Je fêtais mon vingtième anniversaire et, ce que ne perçus pas sur le moment, c'est que tout ces drôles auraient été passibles des tribunaux pour détournement de mineur. Eh oui, à cette époque, en 1969, la majorité civile était à 21 ans. La majorité à 18 ans ne devant intervenir qu'en 1974.
Bon, ce détail étant précisé, entrons vite dans mon détail, si je puis dire. Après que je me sois libéré dans la jouissance et dans l'éjaculation, il fallut bien sur se reposer. Et tout le monde marqua une pause qui n'était pas dénuée de tendresse et de câlins. Mais bon, il fallait bien "recharger les batteries".
Nous en profitâmes tous pour grignoter quelques fruits et les réjouissances ne tardèrent pas à recommencer.
Les femmes se rassemblèrent autour de la jeunette et lui dirent de bien regarder. Ce qu'elle fît évidemment avec beaucoup plus d'attention qu'elle n'aurait pu accorder à un cours de géographie ou même de maths.
Les hommes me couchèrent à mon tour sur le canapé et commencèrent à m’embrasser un peu partout et à me caresser. Ils s’employèrent à montrer toutes les zones supposées conduire un homme au plaisir, et bien entendu je fus très vite parcouru de frissons et vêtu de chair de poule de la tête aux pieds. Ceci fut d’ailleurs indiqué à la jolie comme un bon indice de l’efficacité des gestes accomplis.
Un des hommes était assis à ma droite. Il m’embrassait dans le cou et me caressait les seins, puis les hanches. Chaque geste était précisément décrit et la jolie en apercevait les résultats en direct. Je gesticulais comme un pantin. Je voyais les femmes caresser la jeunette et lui dire de se pencher pour mieux voir.
Un autre homme était plus particulièrement chargé de me faire à nouveau bander, ce qui ne tardât pas. Pour cela, il me caressait le ventre avec ses doigts, puis sa bouche et sa langue. Ses mains me caressaient les cuisses et arrivèrent très vite à l’approche de ma bite tendue à nouveau maintenant. Pendant que le troisième me pinçait les seins gentiment et me fourrant sa langue dans mon oreille, le second m’attrapa à pleine main.
J’entendis dire une des femmes : « Tu vois, tu peux le prendre à pleine main sans avoir peur de lui faire mal ». « C’est aussi peu douloureux qu’un pincement d’oreille » et elle joignit le geste à la parole en pinçant une oreille de la jeunette. Elle précisa : « Les hommes adorent qu’on prenne leur bite sans faire semblant, ça les flatte. » Et l’homme commença une lente mais ferme masturbation. La fille n’en perdait pas une miette et je m’exposais à sa vue sans pudeur. J’adorai tout de suite cette situation d’exhibitionnisme et je m’apercevais bien que la belle s’en régalait aussi. L’homme se mit à me caresser les couilles à l’aide de son autre main, ce qui fût l’occasion donnée à une des autres femmes de dire qu’il fallait les palper avec douceur et fermeté mais sans jamais trop forcer. Il fut demandé à la donzelle de s’y essayer ce qu’elle fit d’ailleurs très bien. Elle avait compris. L’homme accéléra la masturbation et simultanément me prit dans sa bouche. Une des femmes insista pour dire qu’il fallait faire attention à bien lubrifier la queue pour éviter les échauffements et les douleurs.
Cette fellation démonstration était sublime. Rien de tel qu’un homme pour bien sucer un autre homme. Il sait précisément comment faire pour donner du plaisir et maintenir et renforcer l’érection. Je ne veux pas dire que les femmes ne savent pas bien sucer, mais bon, à priori un homme sait mieux comment pratiquer. Je suppose que l’inverse est vrai, une femme qui va en lécher ou en sucer une autre sait forcément mieux s’y prendre qu’un homme, au début. Passons.
J’ai fréquenté beaucoup de femmes, assez peu savaient s’y prendre correctement et devaient être conseillées. Quelques autres avaient été visiblement briffées et me faisaient monter au ciel. Mais revenons à mon branleur. Il m’astiquait maintenant avec ardeur et mon érection était au paroxysme. J’avais les cuisses écartées, les pattes en l’air, et je n’avais aucune intention de me cacher. Mon amant de Calvi s’accroupit. Me prenant le sexe dans sa main gauche, il commença à me caresser les fesses puis à s’intéresser à mon petit cul. Il mouilla ses doigts dans ma bouche et les présenta à mon petit plissé. Un doigt ne tarda pas à m’envahir. J’étais aux anges.
Je regardais la minette,
 Elle n’en perdait pas une miette.
Un deuxième doigt fureteur disparut à son tour, le plaisir s’intensifia et ma bandaison fut renforcée. Une des femmes demanda à la jeunette de s’en assurer : « touche la. Tu vois comme elle bande davantage ? » Je sentis une main me palper. La petite venait de vérifier.
Et l’autre de lui dire : «  le plaisir, avec les hommes bisexuels, c’est qu’ils acceptent d’être possédés à égalité. » Elle continua : « Lui mettre les doigts dans l’anus, c’est à coup sur le faire rebander si par hasard il avait une défaillance. » Elle lui demanda si elle voulait essayer, mais elle refusa. Je n’en fus pas dépité car j’étais par ailleurs régalé. La minette n’en resta pas moins sur les lieux pour ne rien rater.
Une des femmes commença à caresser un des hommes pour le préparer. J’avais toujours les deux doigts visiteurs qui s’agitaient dans mon petit cul serré. Je vis la femme ouvrir un flacon de ce qui sembla être de l’huile parfumée. Je sentis que je ne m’étais pas trompé quand elle vint prendre la place de mon amant de Calvi, avec ses doigts glissants. Une autre reprit le flacon et commença à en recouvrir le sexe de l’homme qui allait me sodomiser en premier.
Ainsi préparé, les deux femmes me saisirent par les jambes et les cuisses pour me positionner correctement. Je vis l’homme s’avancer et prendre place entre mes cuisses. Mes muscles étaient maintenant dilatés et je sentis comme je vis également son sexe entrer en moi dans le même temps que les doigts de la femme se retiraient.
Cela me fit un peu mal sur le moment, mais la douleur laissa très vite la place au plaisir.
Je n’étais pas très expérimenté à ce moment là, mais je compris vite que le mélange douleur/plaisir était le piment de cette pratique. Tout ceux et toutes celles qui aiment la sodomie connaissent ce sentiment et ces impressions. Un homme qui aime être sodomisé sait bien mieux s’y prendre à son tour pour enculer gentiment une femme. Mais bon, revenons à mon anniversaire.  Les hommes me retournèrent et je me retrouvais à quatre pattes sur le canapé. Celui qui venait de me sodomiser n’était pas le plus sympathique. Il avait un petit air qui semblait légèrement méprisant. Quand il disparut de ma vision, ce ne fut pas un déchirement . Je me retournais à nouveau. Je voulais tout voir.
* « Calvi » appela l’autre type, qui lui s’approcha gentiment me fit un sourire, me caressa les cuisses et les fesses et me leva la jambe pour mieux me pénètrer. Il était légèrement mieux monté que le premier, mais j’étais bien préparé et il entra en moi en douceur mais profondément. La consigne de la soirée semblait être : «  surtout ne pas jouir ».
Après m’avoir astiqué un bon moment, celui-ci se retira doucement pour laisser la Place à Calvi, mon amant de l’île de beauté, le mois précédent. Je connaissais sa bite et il rentra facilement. J’étais content, lui me faisait plaisir en prenant le sien et j’adorai sa façon de me caresser tout en me baisant.
Après quelques instants l’hôtesse de maison vint lui dire quelque chose à l’oreille et il se retira tout doucement. Mon plaisir anal était à son comble et je n’avais pas joui non plus. La jeunette fut amenée devant moi. Mon amante de calvi, me regarda et me dit : «  bon anniversaire jean-Pierre, maintenant nous te laissons. Occupe toi de la petite. » elle  s’éloigna comme les autres et je vis bien que chacun s’égaillait sans sa chacune. Les couples s’échangeaient et s’éparpillaient dans la pièce. Je commençais à flirter outrageusement avec la mignonne, les mains par ci, les mains par là. Je la pénètrai mais je me rendis vite compte qu’elle était ailleurs. Elle regardait les trois couples baiser gentiment, elle n’en perdait rien. Je compris à ce moment là qu’il n était pas utile de continuer avec elle. Je me levais et la vis se diriger au milieu de la pièce. Son ménage n’avait échappé à personne, les couples se défirent et les hommes vinrent l’entourer. J’étais dans le même état d’esprit et, du même mouvement je me dirigeais vers les femmes qui m’en tourèrent également. La suite fût simple, la gamine fût entreprise par les trois hommes pendant que je me débattais avec les trois femmes. L’excitation et la jouissance fûrent terribles. Jus l’impression qu’on m’arrachait le ventre. Ma bite visita ces trois femmes et elles me rendirent mes caresses en me pénètrant le cul à leur tour. Sentir toutes ces mains et tout ces doigts te parcourir et t’envahir est tout simplement divin.
Je n’avais pas perdu au change. La nuit fût torride, et le lendemain matin j’avais mal partout. J’eus du mal à m’asseoir trois jours durant. J’étais vidé mais comblé. Dans tous les sens du terme. Le lendemain matin, après un petit déjeuner rapide, la dispersion fut sifflée et je quittais l’appartement parfaitement heureux de mon anniversaire. Je me souviendrai jusqu’à la fin de mes jours de ce qui reste le meilleur souvenir de ma vie sexuelle.
Je n’eus plus jamais de nouvelle de ce merveilleux couple de calvi. Quand, au hasard de mes promenades Parisiennes, je  tentais de reprendre contact je m’aperçus dépité que l’appartement avait changé d’occupants. J’avais été initié à la bisexualité et à la partouze. Il fallait maintenant que je vole de mes propres ailes et que je trouve mes propres expériences.
Je n’ai rien perdu de ces leçons adorables et je me suis efforcé de partager ces connaissances tout au long de ma vie, et Je continue…….
 
 
Par jpp09 - Publié dans : Ma bisexualité
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