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Baise entre hommes

Lundi 4 février 1 04 /02 /Fév 19:52
Annick-Petitjean-et-sa-cousine.jpg Après l'épisode amoureux avec Danielle Le-charme-Polonais.jpg , j'ai connu d'autres jeunes filles de mon âge telles Annick ( à gauche)et une jeune Polonaise, étudiante en journalisme (à droite).Mais je rentrai tout de même dans une période où je cherchais des relations masculines. Jusqu'alors je ne fréquentais aucun lieu adéquat.
L'idée me vint qu'il fallait que j'aille à la recherche d'endroits où rencontrer des hommes.
la réponse me fût fournie grâce à l'achat du "Pariscope", petit hebdo traitant de toutes les possibilités de réjouissances Possibles dans la capitale.
J'y trouvais des adresses de bars ou de boites fréquentés par les gays.
Je l'ai déjà dis, je ne suis pas gay. Il y a selon moi une grande différence entre les gays et les bisexuels, mais ne chipotons pas. il me fallait trouver un endroit fréquenté par les hommes.
Je trouvais tout d'abord un bar du coté des anciennes halles près du plateau Beaubourg. Je m'y installais en terrasse pour observer les évènements. 
je remarquais bien les regards entendus qui s'échangeaient autour de moi. C'est une curieuse sensation.
A deux tables de moi,il y avait deux hommes en grande conversation et je les regardais attentivement mais sans rien manifester.
Après un certain temps d'examen réciproque, Ils me regardaient de temps à autre, l'un des deux se leva et vint me parler. Ce simple fait m'excita au plus haut point. Finalement, il était facile d'obtenir des contacts, c'est ce que j'étais venu vérifier. Ma tentation était grande et je recherchais absolument une aventure masculine.
L'homme me parla sans détour et me demanda directement si j'étais venu pour rencontrer des hommes. je lui répondis que oui. Il me demanda alors si je voulais bien partager leur table. j'acceptais et je me levais pour aller rejoindre leur table, et le deuxième homme qui me regardait mais était resté assis.
Il me serra la main avec une légère insistance et je compris tout de suite que cela faisait partie des gestes convenus pour éclaircir les intentions de drague entre mecs. Je souriais et m'assis entre les deux. Ils me regardaient maintenant avec une envie manifeste d'aller plus loin et j'acceptais une consommation en leur compagnie.  j'étais encore dans ma vingtaine, et ces hommes avaient visiblement franchi la cinquantaine. Ils n'étaient pas spécialement attirants, mais la situation m'excita terriblement et je décidais d'emblée de suivre l'aventure et de voir où elle me mènerait.
la conversation prit dès lors une tournure de moins en moins équivoque. Ces messieurs me parlaient maintenant ouvertement de les suivre pour passer une "bonne soirée".
l'époque était moins risquée que de nos jours et je me décidais à les suivre. je le leur dis et fis même preuve d'audace gourmande en leur disant directement que j'adorai faire l'amour avec des hommes et que ce n'était pas la première fois.
Dès lors la situation évolua rapidement. l'homme placé à ma gauche posa sa main sur ma cuisse, pas très loin de mon sexe. Il vit tout de suite que je me mis immédiatement à bander et sa caresse se fît plus précise. manifestement il apprécia et il en parla ouvertement à son ami." Hummmm, mais dis donc, on dirait qu'il aime ça ce garçon." En effet mon sexe avait du mal à se maintenir dans mon jean beige à petites cotes très à la mode à cette époque.
l'autre voulu vérifier et, à son tour posa sa main sur mon sexe. visiblement il appréciait aussi et il signa le moment du départ. A quelques pas de là nous hélions un taxi et je me plaçais entre les deux.
Les embrassades et le pelotage commençèrent au vu et au su du chauffeur qui ne broncha pas. J'étais un peu géné, mais aussi heureux et excité de la situation. Un des hommes me dégraffa la braguette et se mit à sortir ma bite déjà bandée et qu'il se mit à sucer. je remarquais le chauffeur qui n'en perdait pas une miette dans le rétroviseur. l'autre m'embrassait maintenant à pleine bouche.
leur domicile ne devait pas être bien loin car nous ne tardâment pas à arriver à destination.
Leur appartement était situé dans un immeuble du quatorzième arrondissement , pas très loin du quartier Mouffetard que je reconnus au passage.
En montant l'escalier, mon excitation grimpait au même rythme.
j'avais furieusement envie de me retrouver entre les bras de ces deux hommes et de m'amuser en leur compagnie.
ma jeunesse les excitaient, et ils me déhabillèrent très vite alors qu'ils restaient habillés eux mêmes.
je me retrouvais donc totalement nu et à leur merci dans ce qui me parût être un énorme salon.
Cette pièce était équipée de nombre de fauteuils et de canapés. l'atmosphère était bourgeoise et la déco et l'ameublement d'un luxe ostentatoire. ça sentait le fric à plein nez. Un des hommes se mit alors à m'embrasser et à caresser mon corps nu. Il me touchait les fesses et j'adorai. Je sentis son membre bander à travers son pantalon et je me décidais à lui rendre sa caresse. je touchais sa bite et il ne tardat pas à ouvrir sa braguette et à la sortir . Il était très excité et m'attrapa la main pour que je m'en saisisse ce que je fis avec plaisir. J'aime et j'ai toujours aimé tenir et caresser des bites.
Pendant ce temps , l'autre qui s'était absenté revint avec une bouteille de champagne et trois coupes qu'il déposa sur une table basse. Il vint nous rejoindre et sortit également sa bite. je m'en saisis aussi et je me retrouvais à branler ces deux types qui se régalaient de me tripoter partout. L'un d'eux me mit une main sur l'épaule et je compris qu'il voulait que je m'accroupisse, ce que je fis immédiatement mais en prenant mon temps. Je lui attrapais la queue et me mis à le sucer doucement. je branlais toujours l'autre et il eut aussi envie que je le suce et je m'exécutais dans l'instant. Avoir ces deux bites à ma disposition et les sucer était un vrai moment de bonheur.
Ils me relevèrent enfin et me portèrent quasiment sur un des canapés. Ils me caressèrent partout et mon corps fût sans cesse parcouru de frissons. Je n'avais de cesse de leur faire plaisir et je les caressais et suçais à tour de rôle. Bientôt l'un des deux s'enhardissant m'introduisit deux de ses doigts dans ma bouche, puis les approcha de mon petit trou du cul. Je me mettais bien en place pour l'aider et il enfonça ses doigts dans mon petit plissé, à mon plus grand plaisir. Mon érection se fit plus raide encore, et l'autre me saisit et me suça avec grande conviction.
Enfin, le premier, jugeant sans doute que ma dilatation était à son comble, s'approcha. Il m'encula fortement alors que son complice m'écartait les jambes davantage.
L'instant était fabuleux, pendant que l'un m'enculais, l'autre me suçait et me branlait. je ne tardais pas à jouir dans la bouche du suçeur qui devait s'y attendre et le souhaiter. Quand j'eus fini de m'écouler entre ses lèvres, il vint m'embrasser sur la bouche et me fit profiter de mon sperme qu'il avait conservé pour le partager. Son copain voulut en profiter également et ils s'embrassèrent.
Il m'enculait toujours avec vigueur et je lui demandais de changer de position. Il se retira, le temps pour moi de me mettre à quatre pattes. Ce mouvement et cette position en levrette les excita au plus haut point. Mon enculeur me saisit par les fesses et m'attira à lui. Il me pénétra à nouveau et sans pitié. je poussais un cri de douleur et de plaisir mélangés.
Il accéléra ses mouvements de va et vient et finit par jouir violemment dans mon cul. J'entendais sa respiration effrénée. Le second lui demanda de lui laisser la place, il se retira et s'assit sur un fauteuil pour assister à la suite des évènements.  Le "remplaçant" ne fit pas de cinéma il m'encula directement et avec force. Il était plus fort que le premier. Il me sembla que sa bite me déchirait le cul mais j'adorai subir cet outrage. Il me branlait en même temps qu'il m'enculait et je ne tardais pas à  bander à nouveau. J'eus envie de lui caresser les couilles et je fis le dos rond pour pouvoir les saisir et les caresser par en dessous. Cette position lui permit de s'enfoncer davantage en moi et je regrettais vite que ses couilles forment un buttoir. Il éjacula dans mon cul et la force de sa jouissance fit grand bruit. A cet instant je pensais stupidement aux voisins et je me mis à rire à leur grand étonnement. Il me demandèrent pourquoi je riais et je  leur parlais des voisins. Ils se mirent à rire également et l'ambiance se fit ensuite plus intime. ils m'entraînèrent dans la salle de bain où se trouvait une immense baignoire au ras du sol . 
Il y avait largement la place pour trois et je les suivis dans le bain. L'instant fût consacré à des caresses multiples échangées et j'avoue avoir adoré le fait que ces deux hommes me fasse ma toilette. tout en douceurs.
Ils me demandèrent ensuite si je voulais passer la nuit avec eux et j'acceptais. Le sommeil ne fût pas au rendez vous, et les caresses recommencèrent. j'aimais l'idée qu'ils me rebaisent et c'est ce qu'ils firent avec un plaisir visible.  Le lendemain matin, après un petit déjeuner copieux, ils me racompagnèrent chez moi en voiture et je mentais sur mon adresse en me faisant déposer à un immeuble voisin du mien.
Je n'ai jamais revu ces deux hommes, mais je suis bien sur d'occuper une bonne place dans leur mémoire s'ils sont encore en vie. j'ai bien sur conservé moi même un merveilleux souvenir de cette nuit torride et comblée.
les jours qui suivirent j'eus du mal à m'assoir tant j'avais mal au cul, mais j'adorai ressentir cette douleur souvenir.
Ces pulsions "masculines" devaient me passer pendant quelques années durant lesquelles je rencontrai de nouvelles femmes.
Si vous revenez me lire, je vous les raconterai bientôt.
Par jpp09 - Publié dans : Baise entre hommes
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Vendredi 1 février 5 01 /02 /Fév 12:39
Deux mois après mes premières expériences bisexuelles, de-profil.jpg je faisais mon service militaire.
Je n'en ai pas beaucoup souffert, jugez en: 
J'ai passé mes classes au Bourget durant un mois.
Il faut dire que j'habitais Paris alors, vous vous en souvenez.
Après mes "classes", je fûs affecté au Ministère de l'air, place Balard à Paris.
Après m'être présenté, on, me fit savoir avec désolation que je ne pouvais malheureusement pas loger sur la base, compte tenu du fait que j'avais une habitation à Paris, chez mes parents.
En tenue et le pouce levé en l'air, j'étais chez moi 20 minutes après ma sortie de la caserne. Vous le voyez, ce n'était pas le bagne.
C'était d'autant moins le bagne, que je fûs affecté ensuite dans un bâtiment d'expertise du personnel naviguant de l'aéronotique tant civil que militaire. 4 mois après, je grimpait d'un étage, et je me trouvais en "médecine" et uniquement avec des médecins appelés qui me signaient mes perm's. C'est dire si j'en ai eu et abusé.
Ils refusaient d'ailleurs que je mette sur ma porte: " soldat de première classe".
Il me fallu donc à leur demande inscrire: " médecin Aspirant......." ce qui fit de moi un toubib et me valut de porter blouse blanche.
le plus fort n'est pas là. Je tenais le poste électrocardiographie et comme par hasard, je faisais passer des électrocardiogrammes aux hotesses de l'air militaires et civiles, des compagnies aériennes Françaises.
Les filles entraient chez moi et je les invitais bien sur à se mettre torse nu et à retirer leurs bas. (pour un meilleur contact des électrodes)
Vous voyez si j'ai beaucoup souffert. Le nombre de rencards que j'obtins est considérable et je ne m'en plains pas.
Bon. Il faut aussi que je vous parle de José. 
Au Bourget, partageant ma chambrée, il y avait un jeune Antillais magnifique et nous ne tardâmes pas à devenir les meilleurs amis du monde.
José avait 20 ans comme moi, comme moi il mesurait 1,80m et était musclé très harmonieusement. Il était très beau gosse et je m'aperçus très vite que son intérêt pour moi dépassait la simple camaraderie. Ses regards ne trompaient pas. Il avait manifestement envie de moi, cela ne faisait aucun doute.
Un jour, sur la base du ministère je lui rendis une visite à ses bureaux. il se trouvait seul, en uniforme et lisait un journal illustré au comptoir de son bureau. je m'approchais et me plaçais à sa gauche comme pour lire au dessus de son épaule.
Il se colla à moi tout de suite. Tout en lisant, il commença à me caresser le haut de la cuisse à travers mon pantalon. Comme je ne réagissais pas , il s'enhardit et en vint très vite à me caresser la bite. C'était délicieux et je me laissais faire jusqu'à la jouissance.
Ce fût l'occasion pour moi de découvrir qu'avec les garçons et les hommes, j'étais davantage passif qu'actif.
Cela bien sur ne signifie pas que je sois inactif, mais, les bisexuels hommes et femmes savent ce dont je veux parler.
J'aime sentir qu'un garçon ou qu'un homme désire me posséder. En cela, je connais le bonheur des filles et des femmes qui se sentent désirées. J'aime aussi que les filles et les femmes me désirent de la même manière.
José m'avait fait jouir dans mon slip et son désir pour moi ne fît aucun doute. Il me demanda comment il était possible de nous retrouver discrètement pour "flirter".
je décidais que je l'inviterai à me rejoindre aux heures de repas dans mon bureau. Celui ci était doté d'une table d'examen pour les électrocardiogrammes, et c'est sur ce lit improvisé qu'il me grimpa dessus pour m'embrasser. Ses joues piquaient, mais je m'en moquais, j'acceptais ses baisers et ses caresses rudes sur mon corps.
Bien sur cela ne lui siffisait pas, il brûlait d'envie de m'enculer, je le compris très vite et cela m'excita au plus haut point.
je profitais d'une descente de ma famille dans le sud est pour dire que je préférai rester seul à paris pour quelque temps et j'organisais la venue de José à la maison.
Il sonna à la porte. j'ouvris et le fit entrer. je l'embrassais sur la bouche d'entrée, un petit bec, histoire de bien faire comprendre à José que j'attendais la même chose que lui: une partie de trou du cul. Il n'était pas venu pour faire copain et j'attendais autre chose de lui. je voulais qu'il me désire ardemment. j'aime cette sensation et je comprends les femmes qui aiment être désirées. Je sais ce que ce la signifie et c'est un sentiment très excitant.
Il était en uniforme de l'armée de l'air. Bleu marine ( eh oui) avec un calot sur la tête. je lui avait dis de ne surtout pas se cacher, ni de raser les murs. le meilleur moyen de se faire remarquer et repérer, c'est de se cacher.
  j'étais quant à moi vétu d'une robe de chambre en satin et à motifs chinois.
je savais ce que je voulais, mais il fallait qu'il  me drague. je m'installais sur un fauteuil dans le salon, les pieds sur le canapé. José s'approcha de moi et s'accroupit à mes cotés.
Il commença à me caresser les jambes et remonta très vite à la recherche de mon slip et de ma queue.
Il m'écarta les cuisses pour mieux me respirer. Il ne tarda pas à me retirer mon slip, je ne résistais pas.
Il s'empara de ma bite pour la sucer et me caressa les couilles avec bonheur.
J'avais posé ma main droite sur son épaule, manière de l'encourager à poursuivre ses caresses et léchouilles. Il m'avait attrapé la queue fermement maintenant et il la suçait avec gourmandise. ses hummmms de satisfaction m'excitaient au plus haut point.
je me levais bientot et l'entraînais vers  ma chambre. Nous nous déhabillâment mutuellement avec maladresse. une fois nu, il se couchât sur le lit sans pudeur. Il avait une superbe queue bien droite et de couleur ambrée. j'eu
s tout de suite envie de la toucher et de la sucer, ce que je fîs. J'adorai lui faire plaisir, le branler, lui sucer le gland, caresser ses couilles qui avaient du mal à tenir toutes deux dans ma main.
Il eut assez rapidement assez de mes caresses, peut-être par peur que je le conduise trop rapidement à l'éjaculation.
Il se dégagea donc pour m'entreprendre à son tour. Il m'embrassait sauvagement. je sentais sa barbe naissante m'irriter les joues mais pour rien au monde je ne l'aurai arrêté.
Il n'y avait aucune douceur dans ses caresses. je sentais bien qu'il avait hâte de m'enculer, et je le laissais venir. 
Visiblement sa préférence allait vers une position consistant à placer mes jambes sur ses épaules. Il me dit que c'est  comme ça qu'il préférait. Il me suça très rapidement à mon plus grand délice, puis vint se positionner entre mes jambes relevées. Il m'encula sans plus de préparation, ce qui me fît un peu mal, mais il était hors de question d'échapper à son emprise. j'adorai qu'il m'encule, et il le fit avec hardiesse et rudeur.
Bien que terriblement excité, il se retenait de jouir et son enculade dura un bon moment ce qui augmenta mon plaisir. Enfin, il se libéra dans mon cul et j'étais ravi d'entendre ses grognements farouches.
Nous nous reposâmes ensuite et je lui fis sa toilette.
J'étais content de moi, il avait visiblement pris beaucoup de plaisir à me baiser. Il ne tardat pas à me le prouver, nos rendez vous se firent ensuite dans des hôtels Parisiens ce qui augmentait le coté "dangereux" et "risqué" de nos rencontres.
La dernière fois que nous nous sommes vus, il était descendu avec toute sa famille à Paris. papa, maman et une floppée de gosses ce qui me fit penser tout d'abord qu'il serait impossible de faire l'amour.
 Je pris donc une chambre près de la sienne cette nuit là. quant il vint me rejoindre à une heure tardive, il n'était pas seul. Il avait amené à ce qu'il me dit son "cousin".  je ne compris pas tout de suite de quoi il était question, mais finalement, quand José se mit à me caresser sans ambiguité sous le regard de l'autre, je compris qu'ils avaient tout deux envie de moi. j'acceptai et ils me baisèrent et m'enculèrent toute la nuit.
j'ai malheureusement perdu les coordonnées de ce camarade de régiment et j'en suis désolé. Encore aujourd'hui, il m'arrive de rêver le revoir un jour et pourquoi pas lui donner le plaisir qu'il attend.
Je ne sais que très peu de choses. il s'appeleait José, son père était le patron de Coca Cola en Martinique ou à la Gouadeloupe, je ne suis plus certain, mais peu importe, même avec toutes ces années passées , je suis sur que je lui plairai à nouveau. Il devait être bisexuel comme moi, et quand on a aucune raison d'en souffrir on le reste toute sa vie.
Après José, il m'est arrivé plein d'aventures hétéro et bisexuelles et je n'ai pas fini de m'en régaler et de donner du bonheur aux femmes comme à certains hommes qui me l'ont bien rendu.
je vous en reparlerai bientôt.
laissez moi des com's, j'adore.
Par jpp09 - Publié dans : Baise entre hommes
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