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Lundi 4 février 1 04 /02 /Fév 19:52
Annick-Petitjean-et-sa-cousine.jpg Après l'épisode amoureux avec Danielle Le-charme-Polonais.jpg , j'ai connu d'autres jeunes filles de mon âge telles Annick ( à gauche)et une jeune Polonaise, étudiante en journalisme (à droite).Mais je rentrai tout de même dans une période où je cherchais des relations masculines. Jusqu'alors je ne fréquentais aucun lieu adéquat.
L'idée me vint qu'il fallait que j'aille à la recherche d'endroits où rencontrer des hommes.
la réponse me fût fournie grâce à l'achat du "Pariscope", petit hebdo traitant de toutes les possibilités de réjouissances Possibles dans la capitale.
J'y trouvais des adresses de bars ou de boites fréquentés par les gays.
Je l'ai déjà dis, je ne suis pas gay. Il y a selon moi une grande différence entre les gays et les bisexuels, mais ne chipotons pas. il me fallait trouver un endroit fréquenté par les hommes.
Je trouvais tout d'abord un bar du coté des anciennes halles près du plateau Beaubourg. Je m'y installais en terrasse pour observer les évènements. 
je remarquais bien les regards entendus qui s'échangeaient autour de moi. C'est une curieuse sensation.
A deux tables de moi,il y avait deux hommes en grande conversation et je les regardais attentivement mais sans rien manifester.
Après un certain temps d'examen réciproque, Ils me regardaient de temps à autre, l'un des deux se leva et vint me parler. Ce simple fait m'excita au plus haut point. Finalement, il était facile d'obtenir des contacts, c'est ce que j'étais venu vérifier. Ma tentation était grande et je recherchais absolument une aventure masculine.
L'homme me parla sans détour et me demanda directement si j'étais venu pour rencontrer des hommes. je lui répondis que oui. Il me demanda alors si je voulais bien partager leur table. j'acceptais et je me levais pour aller rejoindre leur table, et le deuxième homme qui me regardait mais était resté assis.
Il me serra la main avec une légère insistance et je compris tout de suite que cela faisait partie des gestes convenus pour éclaircir les intentions de drague entre mecs. Je souriais et m'assis entre les deux. Ils me regardaient maintenant avec une envie manifeste d'aller plus loin et j'acceptais une consommation en leur compagnie.  j'étais encore dans ma vingtaine, et ces hommes avaient visiblement franchi la cinquantaine. Ils n'étaient pas spécialement attirants, mais la situation m'excita terriblement et je décidais d'emblée de suivre l'aventure et de voir où elle me mènerait.
la conversation prit dès lors une tournure de moins en moins équivoque. Ces messieurs me parlaient maintenant ouvertement de les suivre pour passer une "bonne soirée".
l'époque était moins risquée que de nos jours et je me décidais à les suivre. je le leur dis et fis même preuve d'audace gourmande en leur disant directement que j'adorai faire l'amour avec des hommes et que ce n'était pas la première fois.
Dès lors la situation évolua rapidement. l'homme placé à ma gauche posa sa main sur ma cuisse, pas très loin de mon sexe. Il vit tout de suite que je me mis immédiatement à bander et sa caresse se fît plus précise. manifestement il apprécia et il en parla ouvertement à son ami." Hummmm, mais dis donc, on dirait qu'il aime ça ce garçon." En effet mon sexe avait du mal à se maintenir dans mon jean beige à petites cotes très à la mode à cette époque.
l'autre voulu vérifier et, à son tour posa sa main sur mon sexe. visiblement il appréciait aussi et il signa le moment du départ. A quelques pas de là nous hélions un taxi et je me plaçais entre les deux.
Les embrassades et le pelotage commençèrent au vu et au su du chauffeur qui ne broncha pas. J'étais un peu géné, mais aussi heureux et excité de la situation. Un des hommes me dégraffa la braguette et se mit à sortir ma bite déjà bandée et qu'il se mit à sucer. je remarquais le chauffeur qui n'en perdait pas une miette dans le rétroviseur. l'autre m'embrassait maintenant à pleine bouche.
leur domicile ne devait pas être bien loin car nous ne tardâment pas à arriver à destination.
Leur appartement était situé dans un immeuble du quatorzième arrondissement , pas très loin du quartier Mouffetard que je reconnus au passage.
En montant l'escalier, mon excitation grimpait au même rythme.
j'avais furieusement envie de me retrouver entre les bras de ces deux hommes et de m'amuser en leur compagnie.
ma jeunesse les excitaient, et ils me déhabillèrent très vite alors qu'ils restaient habillés eux mêmes.
je me retrouvais donc totalement nu et à leur merci dans ce qui me parût être un énorme salon.
Cette pièce était équipée de nombre de fauteuils et de canapés. l'atmosphère était bourgeoise et la déco et l'ameublement d'un luxe ostentatoire. ça sentait le fric à plein nez. Un des hommes se mit alors à m'embrasser et à caresser mon corps nu. Il me touchait les fesses et j'adorai. Je sentis son membre bander à travers son pantalon et je me décidais à lui rendre sa caresse. je touchais sa bite et il ne tardat pas à ouvrir sa braguette et à la sortir . Il était très excité et m'attrapa la main pour que je m'en saisisse ce que je fis avec plaisir. J'aime et j'ai toujours aimé tenir et caresser des bites.
Pendant ce temps , l'autre qui s'était absenté revint avec une bouteille de champagne et trois coupes qu'il déposa sur une table basse. Il vint nous rejoindre et sortit également sa bite. je m'en saisis aussi et je me retrouvais à branler ces deux types qui se régalaient de me tripoter partout. L'un d'eux me mit une main sur l'épaule et je compris qu'il voulait que je m'accroupisse, ce que je fis immédiatement mais en prenant mon temps. Je lui attrapais la queue et me mis à le sucer doucement. je branlais toujours l'autre et il eut aussi envie que je le suce et je m'exécutais dans l'instant. Avoir ces deux bites à ma disposition et les sucer était un vrai moment de bonheur.
Ils me relevèrent enfin et me portèrent quasiment sur un des canapés. Ils me caressèrent partout et mon corps fût sans cesse parcouru de frissons. Je n'avais de cesse de leur faire plaisir et je les caressais et suçais à tour de rôle. Bientôt l'un des deux s'enhardissant m'introduisit deux de ses doigts dans ma bouche, puis les approcha de mon petit trou du cul. Je me mettais bien en place pour l'aider et il enfonça ses doigts dans mon petit plissé, à mon plus grand plaisir. Mon érection se fit plus raide encore, et l'autre me saisit et me suça avec grande conviction.
Enfin, le premier, jugeant sans doute que ma dilatation était à son comble, s'approcha. Il m'encula fortement alors que son complice m'écartait les jambes davantage.
L'instant était fabuleux, pendant que l'un m'enculais, l'autre me suçait et me branlait. je ne tardais pas à jouir dans la bouche du suçeur qui devait s'y attendre et le souhaiter. Quand j'eus fini de m'écouler entre ses lèvres, il vint m'embrasser sur la bouche et me fit profiter de mon sperme qu'il avait conservé pour le partager. Son copain voulut en profiter également et ils s'embrassèrent.
Il m'enculait toujours avec vigueur et je lui demandais de changer de position. Il se retira, le temps pour moi de me mettre à quatre pattes. Ce mouvement et cette position en levrette les excita au plus haut point. Mon enculeur me saisit par les fesses et m'attira à lui. Il me pénétra à nouveau et sans pitié. je poussais un cri de douleur et de plaisir mélangés.
Il accéléra ses mouvements de va et vient et finit par jouir violemment dans mon cul. J'entendais sa respiration effrénée. Le second lui demanda de lui laisser la place, il se retira et s'assit sur un fauteuil pour assister à la suite des évènements.  Le "remplaçant" ne fit pas de cinéma il m'encula directement et avec force. Il était plus fort que le premier. Il me sembla que sa bite me déchirait le cul mais j'adorai subir cet outrage. Il me branlait en même temps qu'il m'enculait et je ne tardais pas à  bander à nouveau. J'eus envie de lui caresser les couilles et je fis le dos rond pour pouvoir les saisir et les caresser par en dessous. Cette position lui permit de s'enfoncer davantage en moi et je regrettais vite que ses couilles forment un buttoir. Il éjacula dans mon cul et la force de sa jouissance fit grand bruit. A cet instant je pensais stupidement aux voisins et je me mis à rire à leur grand étonnement. Il me demandèrent pourquoi je riais et je  leur parlais des voisins. Ils se mirent à rire également et l'ambiance se fit ensuite plus intime. ils m'entraînèrent dans la salle de bain où se trouvait une immense baignoire au ras du sol . 
Il y avait largement la place pour trois et je les suivis dans le bain. L'instant fût consacré à des caresses multiples échangées et j'avoue avoir adoré le fait que ces deux hommes me fasse ma toilette. tout en douceurs.
Ils me demandèrent ensuite si je voulais passer la nuit avec eux et j'acceptais. Le sommeil ne fût pas au rendez vous, et les caresses recommencèrent. j'aimais l'idée qu'ils me rebaisent et c'est ce qu'ils firent avec un plaisir visible.  Le lendemain matin, après un petit déjeuner copieux, ils me racompagnèrent chez moi en voiture et je mentais sur mon adresse en me faisant déposer à un immeuble voisin du mien.
Je n'ai jamais revu ces deux hommes, mais je suis bien sur d'occuper une bonne place dans leur mémoire s'ils sont encore en vie. j'ai bien sur conservé moi même un merveilleux souvenir de cette nuit torride et comblée.
les jours qui suivirent j'eus du mal à m'assoir tant j'avais mal au cul, mais j'adorai ressentir cette douleur souvenir.
Ces pulsions "masculines" devaient me passer pendant quelques années durant lesquelles je rencontrai de nouvelles femmes.
Si vous revenez me lire, je vous les raconterai bientôt.
Par jpp09 - Publié dans : Baise entre hommes
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Dimanche 3 février 7 03 /02 /Fév 10:20
Danielle-Saclier.jpg A la même période où je flirtais avec José, je fréquentais assiduement Danielle. C'était une magnifique jeune fille du même âge que moi (20 ans) et dont j'avais fait la connaissance dans le camp d'ados que dirigeaient mes parents tous les étés dans un village des Pyrénées Ariégeoises où je demeure à nouveau maintenant.
Regardez ces photos que j'ai évidemment retouchées au niveau des yeux afin qu'elle ne soit pas identifiable.
Je vous jure que ce ne sont pas des coccards dûs à des coups que je lui aurai portés.
Mon père m'a toujours dit: "On ne frappe jamais une femme.... même avec un cric" , ajoutait il, l'espiègle. 

Danielle et josé auraient pu se connaitre. Par discrétion, à l'époque, je ne les ai pas fait se rencontrer. Peut-être avais je peur qu'il me la pique, mais bon........

Elle et sa soeur étaient d'une sensualité débordante. l'une et l'autre étaient bisexuelles et la soeur de Danielle, magnifique salope, fréquentait le très Chaud bises Parisien. J'y reviendrai. Parlons de Danielle. La petite soeur donc aimait le sexe et se régalait de baiser à qui mieux mieux.

A Paris, elle habitait chez ses parents, lui Tailleur de diamants et elle princesse Russe déchue. Leur demeure était un vieil hôtel particulier de la rue des Francs Bourgeois, dans le superbe quartier du marais, pas très loin de la place des Vosges. Magnifique.

Au rez de chaussée de cet Hôtel privé, il y avait un ancien dispensaire dont danielle possédait les clefs et où elle arrangeait ses rendez vous de cul.
Décidemment, je devais connaitre les tables d'examen médicaux (voir l'épisode précédent avec José). Ce n'était pas le grand confort, mais bon, on y regardait pas de plus près. Nous baisions comme des fous.

Danielle était un tantinet exibitionniste. Elle adorait s'exposer nue et ouverte et à l'époque, elle consultait un vieux Gynéco dépenaillé à qui on aurait bien donné 10 balles en le voyant. J'accompagnais Danielle quelques fois, en vue par exemple, de se faire placer un pessaire(?) dans le vagin. Ce mâchin, sorte de gros dé à coudre en caoutchouc était sensé être une méthode contraceptive.
Elle aimait donc que je l'accompagne chez ce Toubib pour qu'il lui place et replace, qu'il la tripote de toute façon.
Tu penses bien ma chérie, que le guss s'en donnait à coeur joie et qu'il en profitait pour s'humidifier et se soigner les doigt. C'est mieux que n'importe quel baume Norvégien.
Ce pessaire avait le mérite d'exister, mais pour moi ce n'était pas super bandant de le sentir au bout du gland au cours de mes pénétrations. Au bout de quelque temps elle se décida donc à demander au vieux lubrique de lui placer un stérilet. ce qui fût fait, et tiens toi bien ma chatte, Danielle et moi l'essayâmes devant le gynéco qui je m'en souviens avait les yeux grands écartés. 
J'ai toujours aimé faire l'amour en public , même encore maintenant; et faire l'amour avec Danielle était un vrai spectacle. C'était une folle de cul et j'adorai cette superbe salope.
 Tu sais déjà ma chérie, que quand je dis "salope" d'une femme, c'est avec le plus grand respect et la plus grande admiration. 
J'ai le souvenir d'avoir baisé Danielle, y compris devant sa soeur, qui plus âgée, se sentait l'âme d'une pédagogue et croyait  nous apprendre quelques astuces. 
Je n'ai jamais baisé sa soeur. ça aurait pu se faire, mais voila, ça ne s'est pas fait. Il n'y a rien à regretter, ce serait perdre son temps! 

Danielle et sa soeur, en dehors des parties de baise endiablées, adoraient me faire profiter de leur connaissances du cercle de luxe Parisien. J'allais donc, flanqué de ces deux belles dans les salons de coiffure les plus branchés. Et que je te papouille et que je te fait les doigts et le reste. Brèfle, les frangines s'occupaient de moi comme elles l'auraient fait d'une poupée et tout cela gratos, bien entendu. Je me gardais bien de m'en plaindre, tu le comprendras facilement ma chérie. 

Tu as vu la coiffure que j'avais à l'époque et tu peux imaginer le plaisir qu'avaient les champouineuses et les coiffeuses à s'occuper de ma tignasse. Cette coiffure à la "Julien clerc" était pour moi facile à réaliser. Je me lavais les cheveux et , au sortir de la douche ou du bain , je secouais la tête dans tous les sens. Mais je papote, je papote...
Tu as sans doute autre chose à faire?
Si non, reste encore un peu avec moi en ce dimanche ou tu peux, seule ou accompagnée, te caresser le minou en me lisant. Enfin, bon, tu fais ce que tu veux.....

La soeur de Danielle, je ne me souviens plus de son prénom, sortait à l'époque avec le chanteur appelé  "C Jérome". Et leurs fréquentations étaient pour le moins débridées et sans complexe.

J'ai ainsi participé à quelques partouzes Parisiennes où les garçons étaient autant servis que les  filles.Tu vois ce que je veux dire. Je me suis en effet, bien amusé.

Ma relation avec Danielle a cessé, comme la guerre de sécession a cessé ça c'est sur, du moment où elle a insisté pour qu'on se marie.
Elle me joua même la comédie du " je suis enceinte" devant mes parents ébahis. Bref, je décidais de finir mon service militaire en restant célibataire. 
Je me consolais durant tout le temps restant avec José qui lui rigolait de la situation.

Danielle, par dépit se maria avec un Grec de 33 ans. Je l'appris plus tard, il lui foutait sur la truffe et lui imposait d'autres belettes dans son lit........

j'ai revu Danielle, quelques années plus tard. Un jour de blouse, je demandais à ma mère si elle avait eut des nouvelles d'elle. Et ma mère qui me sort:" elle t'a bien écrit il y a des années, mais je n'ai pas voulu te donner sa lettre".
je poussais un soufflon à my mother et lui demandais si elle avait gardé cette lettre?

Oui, elle avait!

Danielle avait par chance conservé les mêmes adresses et téléphones et nous ne tardâmes pas à nous fixer rendez vous et à nous revoir.
Je me rendis donc chez elle. Elle avait donc eut un fils de son Grec. Il était là, et elle ne tarda pas à l'envoyer faire quelques courses. Il comprit et fila comme un lapin.

Une fois son rejeton sorti, danielle me sauta dessus et s'empara très vite de ma queue qui n'attendait que ça. Elle me branla et, mouillant deux doigts dans chatte, me les enfourna dans le cul. Cet amuse gueule dura un temps. j'étais super excité et je la baisais sauvagement. Quelle partie de baise la didon. Le seul problème, c'est Saclier-Danielle.jpg que quelques 20 ans après nos premiers ébats, Danielle avait un cul qui avait cru de trois fois au moins.
J'aime les femmes rondes (bisous en passant à Girly but sexy si elle vient me voir et me lire ici) mais là c'était l'épouvante.
Après un ultime rendez vous, je cessais de la voir, à son plus grand regret.

De toutes façons, Danielle restera dans mon coeur comme un merveilleux souvenir. N'est-ce pas qu'elle était belle? Je suis bien certain que Miss Pélisse se serait régalée d'une telle beauté.
Par jpp09 - Publié dans : Mes copines de baise.
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Vendredi 1 février 5 01 /02 /Fév 12:39
Deux mois après mes premières expériences bisexuelles, de-profil.jpg je faisais mon service militaire.
Je n'en ai pas beaucoup souffert, jugez en: 
J'ai passé mes classes au Bourget durant un mois.
Il faut dire que j'habitais Paris alors, vous vous en souvenez.
Après mes "classes", je fûs affecté au Ministère de l'air, place Balard à Paris.
Après m'être présenté, on, me fit savoir avec désolation que je ne pouvais malheureusement pas loger sur la base, compte tenu du fait que j'avais une habitation à Paris, chez mes parents.
En tenue et le pouce levé en l'air, j'étais chez moi 20 minutes après ma sortie de la caserne. Vous le voyez, ce n'était pas le bagne.
C'était d'autant moins le bagne, que je fûs affecté ensuite dans un bâtiment d'expertise du personnel naviguant de l'aéronotique tant civil que militaire. 4 mois après, je grimpait d'un étage, et je me trouvais en "médecine" et uniquement avec des médecins appelés qui me signaient mes perm's. C'est dire si j'en ai eu et abusé.
Ils refusaient d'ailleurs que je mette sur ma porte: " soldat de première classe".
Il me fallu donc à leur demande inscrire: " médecin Aspirant......." ce qui fit de moi un toubib et me valut de porter blouse blanche.
le plus fort n'est pas là. Je tenais le poste électrocardiographie et comme par hasard, je faisais passer des électrocardiogrammes aux hotesses de l'air militaires et civiles, des compagnies aériennes Françaises.
Les filles entraient chez moi et je les invitais bien sur à se mettre torse nu et à retirer leurs bas. (pour un meilleur contact des électrodes)
Vous voyez si j'ai beaucoup souffert. Le nombre de rencards que j'obtins est considérable et je ne m'en plains pas.
Bon. Il faut aussi que je vous parle de José. 
Au Bourget, partageant ma chambrée, il y avait un jeune Antillais magnifique et nous ne tardâmes pas à devenir les meilleurs amis du monde.
José avait 20 ans comme moi, comme moi il mesurait 1,80m et était musclé très harmonieusement. Il était très beau gosse et je m'aperçus très vite que son intérêt pour moi dépassait la simple camaraderie. Ses regards ne trompaient pas. Il avait manifestement envie de moi, cela ne faisait aucun doute.
Un jour, sur la base du ministère je lui rendis une visite à ses bureaux. il se trouvait seul, en uniforme et lisait un journal illustré au comptoir de son bureau. je m'approchais et me plaçais à sa gauche comme pour lire au dessus de son épaule.
Il se colla à moi tout de suite. Tout en lisant, il commença à me caresser le haut de la cuisse à travers mon pantalon. Comme je ne réagissais pas , il s'enhardit et en vint très vite à me caresser la bite. C'était délicieux et je me laissais faire jusqu'à la jouissance.
Ce fût l'occasion pour moi de découvrir qu'avec les garçons et les hommes, j'étais davantage passif qu'actif.
Cela bien sur ne signifie pas que je sois inactif, mais, les bisexuels hommes et femmes savent ce dont je veux parler.
J'aime sentir qu'un garçon ou qu'un homme désire me posséder. En cela, je connais le bonheur des filles et des femmes qui se sentent désirées. J'aime aussi que les filles et les femmes me désirent de la même manière.
José m'avait fait jouir dans mon slip et son désir pour moi ne fît aucun doute. Il me demanda comment il était possible de nous retrouver discrètement pour "flirter".
je décidais que je l'inviterai à me rejoindre aux heures de repas dans mon bureau. Celui ci était doté d'une table d'examen pour les électrocardiogrammes, et c'est sur ce lit improvisé qu'il me grimpa dessus pour m'embrasser. Ses joues piquaient, mais je m'en moquais, j'acceptais ses baisers et ses caresses rudes sur mon corps.
Bien sur cela ne lui siffisait pas, il brûlait d'envie de m'enculer, je le compris très vite et cela m'excita au plus haut point.
je profitais d'une descente de ma famille dans le sud est pour dire que je préférai rester seul à paris pour quelque temps et j'organisais la venue de José à la maison.
Il sonna à la porte. j'ouvris et le fit entrer. je l'embrassais sur la bouche d'entrée, un petit bec, histoire de bien faire comprendre à José que j'attendais la même chose que lui: une partie de trou du cul. Il n'était pas venu pour faire copain et j'attendais autre chose de lui. je voulais qu'il me désire ardemment. j'aime cette sensation et je comprends les femmes qui aiment être désirées. Je sais ce que ce la signifie et c'est un sentiment très excitant.
Il était en uniforme de l'armée de l'air. Bleu marine ( eh oui) avec un calot sur la tête. je lui avait dis de ne surtout pas se cacher, ni de raser les murs. le meilleur moyen de se faire remarquer et repérer, c'est de se cacher.
  j'étais quant à moi vétu d'une robe de chambre en satin et à motifs chinois.
je savais ce que je voulais, mais il fallait qu'il  me drague. je m'installais sur un fauteuil dans le salon, les pieds sur le canapé. José s'approcha de moi et s'accroupit à mes cotés.
Il commença à me caresser les jambes et remonta très vite à la recherche de mon slip et de ma queue.
Il m'écarta les cuisses pour mieux me respirer. Il ne tarda pas à me retirer mon slip, je ne résistais pas.
Il s'empara de ma bite pour la sucer et me caressa les couilles avec bonheur.
J'avais posé ma main droite sur son épaule, manière de l'encourager à poursuivre ses caresses et léchouilles. Il m'avait attrapé la queue fermement maintenant et il la suçait avec gourmandise. ses hummmms de satisfaction m'excitaient au plus haut point.
je me levais bientot et l'entraînais vers  ma chambre. Nous nous déhabillâment mutuellement avec maladresse. une fois nu, il se couchât sur le lit sans pudeur. Il avait une superbe queue bien droite et de couleur ambrée. j'eu
s tout de suite envie de la toucher et de la sucer, ce que je fîs. J'adorai lui faire plaisir, le branler, lui sucer le gland, caresser ses couilles qui avaient du mal à tenir toutes deux dans ma main.
Il eut assez rapidement assez de mes caresses, peut-être par peur que je le conduise trop rapidement à l'éjaculation.
Il se dégagea donc pour m'entreprendre à son tour. Il m'embrassait sauvagement. je sentais sa barbe naissante m'irriter les joues mais pour rien au monde je ne l'aurai arrêté.
Il n'y avait aucune douceur dans ses caresses. je sentais bien qu'il avait hâte de m'enculer, et je le laissais venir. 
Visiblement sa préférence allait vers une position consistant à placer mes jambes sur ses épaules. Il me dit que c'est  comme ça qu'il préférait. Il me suça très rapidement à mon plus grand délice, puis vint se positionner entre mes jambes relevées. Il m'encula sans plus de préparation, ce qui me fît un peu mal, mais il était hors de question d'échapper à son emprise. j'adorai qu'il m'encule, et il le fit avec hardiesse et rudeur.
Bien que terriblement excité, il se retenait de jouir et son enculade dura un bon moment ce qui augmenta mon plaisir. Enfin, il se libéra dans mon cul et j'étais ravi d'entendre ses grognements farouches.
Nous nous reposâmes ensuite et je lui fis sa toilette.
J'étais content de moi, il avait visiblement pris beaucoup de plaisir à me baiser. Il ne tardat pas à me le prouver, nos rendez vous se firent ensuite dans des hôtels Parisiens ce qui augmentait le coté "dangereux" et "risqué" de nos rencontres.
La dernière fois que nous nous sommes vus, il était descendu avec toute sa famille à Paris. papa, maman et une floppée de gosses ce qui me fit penser tout d'abord qu'il serait impossible de faire l'amour.
 Je pris donc une chambre près de la sienne cette nuit là. quant il vint me rejoindre à une heure tardive, il n'était pas seul. Il avait amené à ce qu'il me dit son "cousin".  je ne compris pas tout de suite de quoi il était question, mais finalement, quand José se mit à me caresser sans ambiguité sous le regard de l'autre, je compris qu'ils avaient tout deux envie de moi. j'acceptai et ils me baisèrent et m'enculèrent toute la nuit.
j'ai malheureusement perdu les coordonnées de ce camarade de régiment et j'en suis désolé. Encore aujourd'hui, il m'arrive de rêver le revoir un jour et pourquoi pas lui donner le plaisir qu'il attend.
Je ne sais que très peu de choses. il s'appeleait José, son père était le patron de Coca Cola en Martinique ou à la Gouadeloupe, je ne suis plus certain, mais peu importe, même avec toutes ces années passées , je suis sur que je lui plairai à nouveau. Il devait être bisexuel comme moi, et quand on a aucune raison d'en souffrir on le reste toute sa vie.
Après José, il m'est arrivé plein d'aventures hétéro et bisexuelles et je n'ai pas fini de m'en régaler et de donner du bonheur aux femmes comme à certains hommes qui me l'ont bien rendu.
je vous en reparlerai bientôt.
laissez moi des com's, j'adore.
Par jpp09 - Publié dans : Baise entre hommes
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Samedi 12 janvier 6 12 /01 /Jan 20:29

Moi

Moi
 
Je suppose, (rien à voir avec les mâchins pointus qu'on est obligé de se mettre dans le fondement pour soigner un mal de gorge, par exemple) je suppose que vous vous êtes régalés à lire mon précédent billet où il était question du déniaisement d'une jeune fille le soir de mon vingtième anniversaire, voici quelque temps déjà. Mais bon, je prétends être resté jeune et je souhaite le rester le plus longtemps possible.
Il me fût donc offert ce soir là, de découvrir comment régaler une femme, par des femmes; mais la soirée avait aussi pour but d'enseigner à la jeune fille qui venait de perdre son pucelage, comment s'occuper d'un garçon. Et là, bien sur, cela me concernait directement. Les trois hommes, comme les trois femmes, ce soir là s'employèrent gentiment  à faire voir à cette petite tous les petits trucs pour faire monter un mec aux rideaux.
Et, comme ce furent les nanas qui me montrèrent comment m'occuper de la jeunette, bien évidemment, pour commencer, ce furent les hommes qui lui montrèrent comment s'occuper de moi. J’étais tout à fait volontaire et intéressé, tu parles. Je fêtais mon vingtième anniversaire et, ce que ne perçus pas sur le moment, c'est que tout ces drôles auraient été passibles des tribunaux pour détournement de mineur. Eh oui, à cette époque, en 1969, la majorité civile était à 21 ans. La majorité à 18 ans ne devant intervenir qu'en 1974.
Bon, ce détail étant précisé, entrons vite dans mon détail, si je puis dire. Après que je me sois libéré dans la jouissance et dans l'éjaculation, il fallut bien sur se reposer. Et tout le monde marqua une pause qui n'était pas dénuée de tendresse et de câlins. Mais bon, il fallait bien "recharger les batteries".
Nous en profitâmes tous pour grignoter quelques fruits et les réjouissances ne tardèrent pas à recommencer.
Les femmes se rassemblèrent autour de la jeunette et lui dirent de bien regarder. Ce qu'elle fît évidemment avec beaucoup plus d'attention qu'elle n'aurait pu accorder à un cours de géographie ou même de maths.
Les hommes me couchèrent à mon tour sur le canapé et commencèrent à m’embrasser un peu partout et à me caresser. Ils s’employèrent à montrer toutes les zones supposées conduire un homme au plaisir, et bien entendu je fus très vite parcouru de frissons et vêtu de chair de poule de la tête aux pieds. Ceci fut d’ailleurs indiqué à la jolie comme un bon indice de l’efficacité des gestes accomplis.
Un des hommes était assis à ma droite. Il m’embrassait dans le cou et me caressait les seins, puis les hanches. Chaque geste était précisément décrit et la jolie en apercevait les résultats en direct. Je gesticulais comme un pantin. Je voyais les femmes caresser la jeunette et lui dire de se pencher pour mieux voir.
Un autre homme était plus particulièrement chargé de me faire à nouveau bander, ce qui ne tardât pas. Pour cela, il me caressait le ventre avec ses doigts, puis sa bouche et sa langue. Ses mains me caressaient les cuisses et arrivèrent très vite à l’approche de ma bite tendue à nouveau maintenant. Pendant que le troisième me pinçait les seins gentiment et me fourrant sa langue dans mon oreille, le second m’attrapa à pleine main.
J’entendis dire une des femmes : « Tu vois, tu peux le prendre à pleine main sans avoir peur de lui faire mal ». « C’est aussi peu douloureux qu’un pincement d’oreille » et elle joignit le geste à la parole en pinçant une oreille de la jeunette. Elle précisa : « Les hommes adorent qu’on prenne leur bite sans faire semblant, ça les flatte. » Et l’homme commença une lente mais ferme masturbation. La fille n’en perdait pas une miette et je m’exposais à sa vue sans pudeur. J’adorai tout de suite cette situation d’exhibitionnisme et je m’apercevais bien que la belle s’en régalait aussi. L’homme se mit à me caresser les couilles à l’aide de son autre main, ce qui fût l’occasion donnée à une des autres femmes de dire qu’il fallait les palper avec douceur et fermeté mais sans jamais trop forcer. Il fut demandé à la donzelle de s’y essayer ce qu’elle fit d’ailleurs très bien. Elle avait compris. L’homme accéléra la masturbation et simultanément me prit dans sa bouche. Une des femmes insista pour dire qu’il fallait faire attention à bien lubrifier la queue pour éviter les échauffements et les douleurs.
Cette fellation démonstration était sublime. Rien de tel qu’un homme pour bien sucer un autre homme. Il sait précisément comment faire pour donner du plaisir et maintenir et renforcer l’érection. Je ne veux pas dire que les femmes ne savent pas bien sucer, mais bon, à priori un homme sait mieux comment pratiquer. Je suppose que l’inverse est vrai, une femme qui va en lécher ou en sucer une autre sait forcément mieux s’y prendre qu’un homme, au début. Passons.
J’ai fréquenté beaucoup de femmes, assez peu savaient s’y prendre correctement et devaient être conseillées. Quelques autres avaient été visiblement briffées et me faisaient monter au ciel. Mais revenons à mon branleur. Il m’astiquait maintenant avec ardeur et mon érection était au paroxysme. J’avais les cuisses écartées, les pattes en l’air, et je n’avais aucune intention de me cacher. Mon amant de Calvi s’accroupit. Me prenant le sexe dans sa main gauche, il commença à me caresser les fesses puis à s’intéresser à mon petit cul. Il mouilla ses doigts dans ma bouche et les présenta à mon petit plissé. Un doigt ne tarda pas à m’envahir. J’étais aux anges.
Je regardais la minette,
 Elle n’en perdait pas une miette.
Un deuxième doigt fureteur disparut à son tour, le plaisir s’intensifia et ma bandaison fut renforcée. Une des femmes demanda à la jeunette de s’en assurer : « touche la. Tu vois comme elle bande davantage ? » Je sentis une main me palper. La petite venait de vérifier.
Et l’autre de lui dire : «  le plaisir, avec les hommes bisexuels, c’est qu’ils acceptent d’être possédés à égalité. » Elle continua : « Lui mettre les doigts dans l’anus, c’est à coup sur le faire rebander si par hasard il avait une défaillance. » Elle lui demanda si elle voulait essayer, mais elle refusa. Je n’en fus pas dépité car j’étais par ailleurs régalé. La minette n’en resta pas moins sur les lieux pour ne rien rater.
Une des femmes commença à caresser un des hommes pour le préparer. J’avais toujours les deux doigts visiteurs qui s’agitaient dans mon petit cul serré. Je vis la femme ouvrir un flacon de ce qui sembla être de l’huile parfumée. Je sentis que je ne m’étais pas trompé quand elle vint prendre la place de mon amant de Calvi, avec ses doigts glissants. Une autre reprit le flacon et commença à en recouvrir le sexe de l’homme qui allait me sodomiser en premier.
Ainsi préparé, les deux femmes me saisirent par les jambes et les cuisses pour me positionner correctement. Je vis l’homme s’avancer et prendre place entre mes cuisses. Mes muscles étaient maintenant dilatés et je sentis comme je vis également son sexe entrer en moi dans le même temps que les doigts de la femme se retiraient.
Cela me fit un peu mal sur le moment, mais la douleur laissa très vite la place au plaisir.
Je n’étais pas très expérimenté à ce moment là, mais je compris vite que le mélange douleur/plaisir était le piment de cette pratique. Tout ceux et toutes celles qui aiment la sodomie connaissent ce sentiment et ces impressions. Un homme qui aime être sodomisé sait bien mieux s’y prendre à son tour pour enculer gentiment une femme. Mais bon, revenons à mon anniversaire.  Les hommes me retournèrent et je me retrouvais à quatre pattes sur le canapé. Celui qui venait de me sodomiser n’était pas le plus sympathique. Il avait un petit air qui semblait légèrement méprisant. Quand il disparut de ma vision, ce ne fut pas un déchirement . Je me retournais à nouveau. Je voulais tout voir.
* « Calvi » appela l’autre type, qui lui s’approcha gentiment me fit un sourire, me caressa les cuisses et les fesses et me leva la jambe pour mieux me pénètrer. Il était légèrement mieux monté que le premier, mais j’étais bien préparé et il entra en moi en douceur mais profondément. La consigne de la soirée semblait être : «  surtout ne pas jouir ».
Après m’avoir astiqué un bon moment, celui-ci se retira doucement pour laisser la Place à Calvi, mon amant de l’île de beauté, le mois précédent. Je connaissais sa bite et il rentra facilement. J’étais content, lui me faisait plaisir en prenant le sien et j’adorai sa façon de me caresser tout en me baisant.
Après quelques instants l’hôtesse de maison vint lui dire quelque chose à l’oreille et il se retira tout doucement. Mon plaisir anal était à son comble et je n’avais pas joui non plus. La jeunette fut amenée devant moi. Mon amante de calvi, me regarda et me dit : «  bon anniversaire jean-Pierre, maintenant nous te laissons. Occupe toi de la petite. » elle  s’éloigna comme les autres et je vis bien que chacun s’égaillait sans sa chacune. Les couples s’échangeaient et s’éparpillaient dans la pièce. Je commençais à flirter outrageusement avec la mignonne, les mains par ci, les mains par là. Je la pénètrai mais je me rendis vite compte qu’elle était ailleurs. Elle regardait les trois couples baiser gentiment, elle n’en perdait rien. Je compris à ce moment là qu’il n était pas utile de continuer avec elle. Je me levais et la vis se diriger au milieu de la pièce. Son ménage n’avait échappé à personne, les couples se défirent et les hommes vinrent l’entourer. J’étais dans le même état d’esprit et, du même mouvement je me dirigeais vers les femmes qui m’en tourèrent également. La suite fût simple, la gamine fût entreprise par les trois hommes pendant que je me débattais avec les trois femmes. L’excitation et la jouissance fûrent terribles. Jus l’impression qu’on m’arrachait le ventre. Ma bite visita ces trois femmes et elles me rendirent mes caresses en me pénètrant le cul à leur tour. Sentir toutes ces mains et tout ces doigts te parcourir et t’envahir est tout simplement divin.
Je n’avais pas perdu au change. La nuit fût torride, et le lendemain matin j’avais mal partout. J’eus du mal à m’asseoir trois jours durant. J’étais vidé mais comblé. Dans tous les sens du terme. Le lendemain matin, après un petit déjeuner rapide, la dispersion fut sifflée et je quittais l’appartement parfaitement heureux de mon anniversaire. Je me souviendrai jusqu’à la fin de mes jours de ce qui reste le meilleur souvenir de ma vie sexuelle.
Je n’eus plus jamais de nouvelle de ce merveilleux couple de calvi. Quand, au hasard de mes promenades Parisiennes, je  tentais de reprendre contact je m’aperçus dépité que l’appartement avait changé d’occupants. J’avais été initié à la bisexualité et à la partouze. Il fallait maintenant que je vole de mes propres ailes et que je trouve mes propres expériences.
Je n’ai rien perdu de ces leçons adorables et je me suis efforcé de partager ces connaissances tout au long de ma vie, et Je continue…….
 
 
Par jpp09 - Publié dans : Ma bisexualité
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Dimanche 6 janvier 7 06 /01 /Jan 16:45
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Elle.
 
Vous avez sans doute remarqué que la fin de mon billet précédent laissait quelque peu « sur la faim ». je m’en viens donc vous offrir quelques détails.
Je vais commencer par Elle. Mais, souvenez vous, cette jeune fille, qui, hasard ou non vint à partager les fêtes de mon vingtième anniversaire.
Je vous ai déjà dis qu’elle était mignonne. Ce petit bout de femme devait mesurer 1.60 et était agréablement proportionnée. Des cheveux mis longs de couleur châtaigne, et fourbie de deux yeux marron magnifiques.
Elle était apparemment un peu timide, mais peut-être était-ce les circonstances.
A ce que je compris, elle était la nièce d’une des femmes de la soirée. Une grande brune supportant avec joie sa quarantaine en beauté. La jeunette m’avait été présentée comme étant la fille du frère de cette belle brune.
Je vous ai déjà dis que ce soir là nous devions elle et moi être initiés aux plaisirs du sexe et de la bisexualité.
Pour elle, cela se traduisit tout d’abord par une séance d’embrassades et de caresses diverses dispensées par ces trois femmes adultes. Accompagné de mes trois hommes, j’étais quant à moi chargé d’observer le jeu des femelles. Il me fallait apprendre comment régaler une femme, et en effet il n’y a rien de mieux que des femmes pour vous instruire de cela. On peut évidemment découvrir tout cela avec l’expérience, mais c’est bien plus divin que d’assister à la démonstration. Et on apprend plus vite évidemment.
Bref, les trois femmes ayant squatté le canapé du salon embrassaient, tâtaient la mignonne pour lui apprendre tous les gestes et toutes les gourmandises. On voyait que la grande brune était une parentèle . Dans ces conditions elle se comportait d’une façon plus douce et plus maternelle. Ses baisers étaient appuyés et véritables mais ils n’étaient pas aussi avides que les deux autres qui elle se défoulaient sans s’économiser. Une l’embrassait sur la bouche et lui caressait les seins et le ventre : La tata. Une autre avait écarté ses jambes et la suçait gentiment. Au passage, je fais remarquer que j’aime aussi utiliser le verbe sucer pour une femme. Le verbe lécher me parait masquer l’importance d’une telle caresse, comme s’il fallait l’amoindrir. Mais bon, passons sur ce problème de vocabulaire. 
Elle lui bouffait carrément la chatte si vous préférez. La jolie grognait de plaisir et ses membres étaient animés de façon désordonnée. La troisième avait saisi la main gauche de la fille et s’était introduit ses doigts dans sa founette. Elle lui demandait gentiment de les remuer.
Les hommes me demandaient de bien regarder ce qui allait suivre.
La suceuse, sans qu’aucun signe ne prévienne, se leva et s’éloigna pour revenir quelques instants  plus tard. Elle portait un linge sur le bras gauche et sa main droite était chargée d’une bassine remplie d’eau. La bassine faisait vraisemblablement partie de ces ustensiles de toilette à l’ancienne. Le broc et la bassine, vous voyez sûrement ce dont je veux vous parler. Le tout était charmant.
Cette fille vint se repositionner entre les cuisses ouvertes de la jeunette. Elle déposa la bassine au sol et s’appliqua à soulever les fesses de la mignonne aidée en cela par les deux autres. Les mouvements étaient lents et doux. Le linge fût glissé sous ses fesses.
Je regardais ce spectacle complètement ébahi. Mes yeux devaient me sortir de la tête. Un des hommes accroupi à ma gauche me caressait gentiment les fesses, un autre était debout et avait sa main légèrement posée sur ma nuque. C’est lui qui me parlait et me disait ce qui se passait. Il me demanda d’être plus attentif encore. Il n’avait pas besoin de trop insister tant j’étais captivé par la situation. Et dire que j’avais pensé que la soirée allait être gâchée.
La suceuse avait repris son œuvre, elle bouffait littéralement la chatte de la petite qui gémissait maintenant sans retenue.
Une pression sur la nuque me fit comprendre qu’un évènement se préparait. Je me penchais davantage pour mieux voir.
La suceuse approchait deux doigts quelle venait de mouiller avec sa propre salive. Elle écarta les lèvres de la « victime », la caressa de façon plus soutenue, ce qui déclancha l’humidité de la belle. Les deux doigts entrèrent. Conquérants. La fille fût un bref instant secouée d’un sursaut. Je me disais qu’il n’y avait là que de très banal quand j’aperçus du sang couler de sa jolie fente.
Emu, je venais d’assister au dépucelage de la minette.
Je n’ai quant à moi jamais aimé dépuceler une fille. J’ai toujours considéré cela comme frustrant car la fille débutante ne participe à rien. Mais la question n’est pas là. Assister à ce dépucelage en groupe était savoureux et je profitais du spectacle.J'imagine que la fille se souviendra toute sa vie de son dépucelage.Il me plait à penser qu'elle a évidemment conservé ses relations familiales avec sa jolie tante.
La suceuse se mit à prodiguer une toilette à la déniaisée pendant que sa tante lui disait : « Tu vois, c’est fini ma chérie ». La toilette se prolongeât. C’était devenu une séance de caresses incessantes. La tante embrassait maintenant sa nièce sans retenue et lui caressait les seins. Celle qui quelques instants auparavant se régalait des doigts de la belle avait maintenant échangé de place avec la suceuse. Je la voyais écarter les lèvres de la minette. Elle me demanda d’approcher davantage. Elle me fit voir la jolie fleur que je trouvais très belle. J’étais alors surpris de découvrir qu’effectivement « la fleur » ressemblait à une fleur. C’est la première fois que j’en voyais une et j’avais cru jusqu’alors qu’il s’agissait d’une métaphore.
Tu sais, un peu comme quand tu apprends que le sexe d’une femme s’appelle une chatte et que tu découvres qu’il n’y a rien de ressemblant de près ou de loin avec ce félin ou cette féline plutôt. Mais il faut bien que le sexe conserve quelque mystère.
Mais revenons à nos moutons……. La femme qui venait de m’offrir cette fleur me fit découvrir aussi le petit bouton nacré. Elle trempa ses doigts dans ce puits d’amour béant. Deux de ses doigts restèrent dans le doux ventre et je la vis titiller ce petit bouton avec la pointe de son pouce. La dépucelée s’agita et l’autre de me dire gentiment : «  tu vois, c’est ça le petit bouton magique » et elle s’employa à me faire voir les effets que ses caresses produisaient à la petite belette. Je bandais terriblement, les hommes me lachèrent et l’hôtesse me fit venir entre les cuisses de la Jeunette. Elle me saisit comme pour estimer mon état, et, satisfaite me tira par la queue pour ensuite prodiguer une double masturbation, la mienne comme celle de la jolie châtaigne. C’était un délice de douceur et de plaisir. Je ne sais pas qui me poussait les fesses, un homme ou une femme, mais ce que je sais c’est que cette poussée me fit pénétrer dans la chatte de la minette. (Ben oui, que voulez vous ?)
Les encouragements des six spectateurs n’étaient pas utiles en soi. Mais cela ne nous génait plus. Notre baise était déchaînée et notre jouissance quasi synchronisée. Des mains nous caressaient partout, s’introduisaient où elles pouvaient. Je pris des claques sur les fesses, on me suça les fesses et le cul. Mais là, je vous décrirais plus en détails ce que je dus subir cette nuit là. Car vous pensez bien que les choses ne pouvaient s’arrêter là. Les hommes comme les femmes devaient faire découvrir à la jolie comment s’occuper d’un homme. Et ce ne fût pas vraiment triste. à suivre donc.
Baisers, Jippé
 
Par jpp09 - Publié dans : Ma bisexualité
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